Mes premières impressions étaient les bonnes, Mme Cambrais était bien sévère. Un jour, alors qu'elle remarqua que je n'arrivais pas à écrire correctement la lettre s, elle s'emporta et me disputa très violemment. Cela me marqua fortement. Par ailleurs elle pouvait être juste et punir à bon escient. Par exemple lorsque nous copiions sur nos camarades nous devions écrire quarante lignes. . . Ella savait aussi nous récompenser de nos résultats en nous permettant d'aller jouer à l'ordinateur en salle d'informatique.
Le défi à la vie
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- Nombre de pages146
- PrésentationBroché
- Poids0.219 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-8121-0735-1
- EAN9782812107351
- Date de parution05/01/2009
- CollectionClassique
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Voyant que je ne pouvais participer à aucune activité sportive, la maîtresse suggéra à mes parents de me faire faire de la gymnastique corrective. Maman m'y emmena donc, tous les mercredis. Après des centaines d'heures passées sur la poutre ou à monter les escaliers, à faire des galipettes et autres assouplissements, on constata l'absence d'amélioration. Devant un tel résultat, mon médecin traitant m'envoya à l'hôpital Hérold pour y faire des examens approfondis, dont un électromyogramme.
Cet examen consiste à envoyer plusieurs décharges électriques dans les muscles des bras et des jambes. Je n'avais que huit ans. Je hurlai de douleur. A la suite de cette épreuve, mes parents apprirent que j'étais atteint d'une myopathie. Mais pour moi, la vie continua son cours. J'ignorai encore la réalité de cette maladie...
Cet examen consiste à envoyer plusieurs décharges électriques dans les muscles des bras et des jambes. Je n'avais que huit ans. Je hurlai de douleur. A la suite de cette épreuve, mes parents apprirent que j'étais atteint d'une myopathie. Mais pour moi, la vie continua son cours. J'ignorai encore la réalité de cette maladie...
Voyant que je ne pouvais participer à aucune activité sportive, la maîtresse suggéra à mes parents de me faire faire de la gymnastique corrective. Maman m'y emmena donc, tous les mercredis. Après des centaines d'heures passées sur la poutre ou à monter les escaliers, à faire des galipettes et autres assouplissements, on constata l'absence d'amélioration. Devant un tel résultat, mon médecin traitant m'envoya à l'hôpital Hérold pour y faire des examens approfondis, dont un électromyogramme.
Cet examen consiste à envoyer plusieurs décharges électriques dans les muscles des bras et des jambes. Je n'avais que huit ans. Je hurlai de douleur. A la suite de cette épreuve, mes parents apprirent que j'étais atteint d'une myopathie. Mais pour moi, la vie continua son cours. J'ignorai encore la réalité de cette maladie...
Cet examen consiste à envoyer plusieurs décharges électriques dans les muscles des bras et des jambes. Je n'avais que huit ans. Je hurlai de douleur. A la suite de cette épreuve, mes parents apprirent que j'étais atteint d'une myopathie. Mais pour moi, la vie continua son cours. J'ignorai encore la réalité de cette maladie...