Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Qu'est- ce que voir ? Qu'est-ce que dire ce que l'on voit ? Qu'est-ce que faire voir ? Qui dit ce qu'il finit voir ? Cette étude tente de dégager l'économie...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Qu'est- ce que voir ? Qu'est-ce que dire ce que l'on voit ? Qu'est-ce que faire voir ? Qui dit ce qu'il finit voir ? Cette étude tente de dégager l'économie propre à l'image dans le marché des visibilités auquel tout concourt aujourd'hui à la réduire.
Toute image ne fait-elle pas le deuil de son objet ? Comment se construit la légitimité et le sens du jugement portant sur des objets " iconiques " qui sont des figures émotionnelles ? La passion de l'image est indissociable en Occident du destin iconique de la Passion christique. Cette passion ne s'est pas contentée d'articuler l'image à la doctrine de l'incarnation, elle a aussi fait l'objet d'un traitement institutionnel. Le vocabulaire de la chair s'est trouvé lié au lexique du corps de l'Eglise et, par la suite, à celui de tous les pouvoirs fondés sur l'adhésion et la soumission des regards.
Décider d'une image est l'affaire d'un commerce, celui des êtres de parole qui ne cessent de faire circuler tous les signes qui produisent un monde commun. L'économie du visible est un choix politique, celui du partage des goûts et des dégoûts, donc des formes sensibles où se jouent les figures de l'amour et de la haine, donc d'une humanité qui reste toujours à construire.