LE COMMERCE DES JOURS.. Nouvelles albanaises

Par : Maks Velo
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages221
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions12,1 cm × 16,5 cm × 2,1 cm
  • ISBN2-911825-00-4
  • EAN9782911825002
  • Date de parution12/05/1998
  • ÉditeurLampsaque

Résumé

Au camp de Spaç, le plus terrifiant de la dictature albanaise, des prisonniers font commerce de leurs jours de liberté contre des paquets de cigarettes, tandis que d'autres transforment des wagonnets en four à pain ou cherchent d'illusoires " diamants " dans les mines de charbon. Maks Velo a été condamné à dix ans de camp en 1978 pour avoir " exécuté des œuvres inspirées de Modigliani, Braque et Picasso... contrevenant ainsi à la méthode du réalisme socialiste. " Ses tableaux ont été détruits. A sa sortie de Spaç, il a consigné ces croquis de mémoire. " Nous sommes comme ces petites gares qu'on ne dessert plus. On les abandonne à l'oubli ". Chacune de ces nouvelles parvient à faire mentir cet aveu d'une vie amputée par la dictature.
Au camp de Spaç, le plus terrifiant de la dictature albanaise, des prisonniers font commerce de leurs jours de liberté contre des paquets de cigarettes, tandis que d'autres transforment des wagonnets en four à pain ou cherchent d'illusoires " diamants " dans les mines de charbon. Maks Velo a été condamné à dix ans de camp en 1978 pour avoir " exécuté des œuvres inspirées de Modigliani, Braque et Picasso... contrevenant ainsi à la méthode du réalisme socialiste. " Ses tableaux ont été détruits. A sa sortie de Spaç, il a consigné ces croquis de mémoire. " Nous sommes comme ces petites gares qu'on ne dessert plus. On les abandonne à l'oubli ". Chacune de ces nouvelles parvient à faire mentir cet aveu d'une vie amputée par la dictature.