Le clan de la grotte. Au temps de l'Homme de Tautavel
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- Nombre de pages48
- PrésentationBroché
- FormatAlbum
- Poids0.448 kg
- Dimensions22,4 cm × 28,7 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-211-21274-8
- EAN9782211212748
- Date de parution15/01/2014
- CollectionArchimède
- ÉditeurEcole des Loisirs (L')
Résumé
L’Homme de Tautavel, ce très lointain ancêtre d’Homo sapiens, dont nous sommes aujourd’hui les descendants directs, n’avait pas la vie facile, voici quatre cent cinquante mille ans. En butte aux duretés de son milieu naturel, réduit à des moyens rudimentaires pour s’abriter, se soigner, se nourrir, se fabriquer des outils et affronter chaque jour la menace d’une faune sauvage volontiers carnassière, sa seule chance de survie résidait dans la solidarité de groupe.
Les conditions d’existence de nos aïeux préhistoriques nous paraissent rudes et peu enviables. Mais la question se pose : les quelques commodités que nous procure le monde moderne, et l’absence habituelle de bêtes féroces dans les rues de nos villes, suffisent-elles à rendre inutile la solidarité humaine ?
Les conditions d’existence de nos aïeux préhistoriques nous paraissent rudes et peu enviables. Mais la question se pose : les quelques commodités que nous procure le monde moderne, et l’absence habituelle de bêtes féroces dans les rues de nos villes, suffisent-elles à rendre inutile la solidarité humaine ?
L’Homme de Tautavel, ce très lointain ancêtre d’Homo sapiens, dont nous sommes aujourd’hui les descendants directs, n’avait pas la vie facile, voici quatre cent cinquante mille ans. En butte aux duretés de son milieu naturel, réduit à des moyens rudimentaires pour s’abriter, se soigner, se nourrir, se fabriquer des outils et affronter chaque jour la menace d’une faune sauvage volontiers carnassière, sa seule chance de survie résidait dans la solidarité de groupe.
Les conditions d’existence de nos aïeux préhistoriques nous paraissent rudes et peu enviables. Mais la question se pose : les quelques commodités que nous procure le monde moderne, et l’absence habituelle de bêtes féroces dans les rues de nos villes, suffisent-elles à rendre inutile la solidarité humaine ?
Les conditions d’existence de nos aïeux préhistoriques nous paraissent rudes et peu enviables. Mais la question se pose : les quelques commodités que nous procure le monde moderne, et l’absence habituelle de bêtes féroces dans les rues de nos villes, suffisent-elles à rendre inutile la solidarité humaine ?
