Le cinéma ou rien. Récit de souvenirs de Cheyenne-Marie Carron

Par : Cheyenne-Marie Carron
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  • Nombre de pages188
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN979-10-699-3051-3
  • EAN9791069930513
  • Date de parution01/11/2018
  • ÉditeurHésiode Productions

Résumé

D'un film à l'autre, Cheyenne-Marie Carron poursuit une quête à la fois intime et universelle. Et le temps irrigue et sédimente ses questionnements : entre une jeune fille taraudée par la foi (Extase), une autre à la recherche de ses origines (Ne nous soumets pas à la tentation), une Fille publique qui se bat pour la reconnaissance de son adoption, Cheyenne Carron a d'abord exploré un versant féminin.
Devenue Cheyenne-Marie, elle s'est ensuite attachée à filmer des jeunes hommes, eux aussi en quête d'identité et d'attaches. La conversion d'un jeune musulman au catholicisme (L'Apôtre), le racisme anti-blanc (Patries), la difficulté à préserver enracinement et pureté dans un monde libéral impitoyable (La Morsure des Dieux), le basculement dans le fanatisme (La Chute des hommes), l'attirance pour un idéal militaire (Jeunesse aux coeurs ardents) les thèmes sont abordés de front.
La douceur du regard rend profondément humaines ces trajectoires à vif, souvent déroutées, toujours fixées vers une grande idée. Rien de figé dans ce cinéma fougueux, qui saisit des élans de vie, en liberté. J'ai quitté ma province à vingt ans, pour monter à Paris. Sans agent et sans relation, mais avec un grand rêve en tête : faire mes films (Cheyenne-Marie Carron).
D'un film à l'autre, Cheyenne-Marie Carron poursuit une quête à la fois intime et universelle. Et le temps irrigue et sédimente ses questionnements : entre une jeune fille taraudée par la foi (Extase), une autre à la recherche de ses origines (Ne nous soumets pas à la tentation), une Fille publique qui se bat pour la reconnaissance de son adoption, Cheyenne Carron a d'abord exploré un versant féminin.
Devenue Cheyenne-Marie, elle s'est ensuite attachée à filmer des jeunes hommes, eux aussi en quête d'identité et d'attaches. La conversion d'un jeune musulman au catholicisme (L'Apôtre), le racisme anti-blanc (Patries), la difficulté à préserver enracinement et pureté dans un monde libéral impitoyable (La Morsure des Dieux), le basculement dans le fanatisme (La Chute des hommes), l'attirance pour un idéal militaire (Jeunesse aux coeurs ardents) les thèmes sont abordés de front.
La douceur du regard rend profondément humaines ces trajectoires à vif, souvent déroutées, toujours fixées vers une grande idée. Rien de figé dans ce cinéma fougueux, qui saisit des élans de vie, en liberté. J'ai quitté ma province à vingt ans, pour monter à Paris. Sans agent et sans relation, mais avec un grand rêve en tête : faire mes films (Cheyenne-Marie Carron).