Le Cinéma : l'art d'une civilisation (1920-1960)
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- Nombre de pages486
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.342 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-08-123926-5
- EAN9782081239265
- Date de parution14/05/2011
- CollectionChamps Arts
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Des années folles à la Nouvelle Vague, de l'âge d'or du muet à l'avènement de la télévision, le cinéma devient un véritable phénomène de civilisation. Art populaire et universel qui bouleverse les modes de perception, symbole de la modernité et symptôme d'une accélération sociale sans précédent, vecteur de nouvelles visions du monde, créateur de mythologies collectives, caisse de résonance de l'Histoire, il attire dans les salles obscures, des années 1920 aux années 1960, jusqu'à vingt milliards de spectateurs par an.
Il est " usine de rêves ", " symphonie visuelle ", " ballet mécanique " ou " culte de la distraction ", ne cessant, avant que n'apparaisse un discours critique spécialisé, de susciter rejet passionné ou fascination. C'est ce dont témoignent les quelque cent vingt textes rassemblés ici ; un recueil international où dialoguent poètes et philosophes, cinéastes, essayistes et sociologues - de Griffith ou Eisenstein à Rossellini, de Ford à Truffaut, d'Aragon à Miller, de Pirandello à Dos Passos, d'Artaud à McLuhan, de Sartre à Benjamin ou Malraux...
Il est " usine de rêves ", " symphonie visuelle ", " ballet mécanique " ou " culte de la distraction ", ne cessant, avant que n'apparaisse un discours critique spécialisé, de susciter rejet passionné ou fascination. C'est ce dont témoignent les quelque cent vingt textes rassemblés ici ; un recueil international où dialoguent poètes et philosophes, cinéastes, essayistes et sociologues - de Griffith ou Eisenstein à Rossellini, de Ford à Truffaut, d'Aragon à Miller, de Pirandello à Dos Passos, d'Artaud à McLuhan, de Sartre à Benjamin ou Malraux...
Des années folles à la Nouvelle Vague, de l'âge d'or du muet à l'avènement de la télévision, le cinéma devient un véritable phénomène de civilisation. Art populaire et universel qui bouleverse les modes de perception, symbole de la modernité et symptôme d'une accélération sociale sans précédent, vecteur de nouvelles visions du monde, créateur de mythologies collectives, caisse de résonance de l'Histoire, il attire dans les salles obscures, des années 1920 aux années 1960, jusqu'à vingt milliards de spectateurs par an.
Il est " usine de rêves ", " symphonie visuelle ", " ballet mécanique " ou " culte de la distraction ", ne cessant, avant que n'apparaisse un discours critique spécialisé, de susciter rejet passionné ou fascination. C'est ce dont témoignent les quelque cent vingt textes rassemblés ici ; un recueil international où dialoguent poètes et philosophes, cinéastes, essayistes et sociologues - de Griffith ou Eisenstein à Rossellini, de Ford à Truffaut, d'Aragon à Miller, de Pirandello à Dos Passos, d'Artaud à McLuhan, de Sartre à Benjamin ou Malraux...
Il est " usine de rêves ", " symphonie visuelle ", " ballet mécanique " ou " culte de la distraction ", ne cessant, avant que n'apparaisse un discours critique spécialisé, de susciter rejet passionné ou fascination. C'est ce dont témoignent les quelque cent vingt textes rassemblés ici ; un recueil international où dialoguent poètes et philosophes, cinéastes, essayistes et sociologues - de Griffith ou Eisenstein à Rossellini, de Ford à Truffaut, d'Aragon à Miller, de Pirandello à Dos Passos, d'Artaud à McLuhan, de Sartre à Benjamin ou Malraux...