Le Christ et la Trinité chez Athanase d'Alexandrie
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- Nombre de pages400
- PrésentationBroché
- Poids0.57 kg
- Dimensions14,6 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-204-09693-5
- EAN9782204096935
- Date de parution14/06/2012
- CollectionPatrimoines Christianisme
- ÉditeurCerf
- PréfacierCharles Kannengiesser
Résumé
Par l'originalité de son traitement du mystère de la Trinité, l'évêque Athanase d'Alexandrie a marqué la tradition théologique jusqu'à nos jours. Athanase retravaille substantiellement la synthèse théologique de ses prédécesseurs, Clément d'Alexandrie et Origène, en fonction du nouveau contexte théologique alexandrin. En effet, Arius, curé de Baukalis à Alexandrie, entreprend vers 318 d'enseigner une doctrine christologique qui tend à nier la divinité du Fils : " Il y eut un temps où le Fils n'existait pas, il est venu a l'existence ex nihilo, comme les autres créatures.
" Face à cette doctrine, Alexandre, le prédécesseur d'Athanase sur le siège d'Alexandrie, puis Athanase lui-même reprennent le flambeau des Pères du concile de Nicée qui, en 325, avaient condamné Arius, ses partisans et sa doctrine. Partant du Christ tel que révélé dans les Ecritures, le pape d'Egypte démontre que c'est uniquement si le Christ est vrai Dieu qu'il peut nous révéler le mystère de la Trinité, et uniquement s'il est vrai homme qu'il peut diviniser la nature humaine : " Dieu s'est fait homme, pour que l'homme devienne Dieu.
" Bible à l'appui, Athanase défend donc le dogme nicéen de la consubstantialité du Fils au Père, puis, à partir de 362, la consubstantialité de l'Esprit-Saint au Père et au Fils.
" Face à cette doctrine, Alexandre, le prédécesseur d'Athanase sur le siège d'Alexandrie, puis Athanase lui-même reprennent le flambeau des Pères du concile de Nicée qui, en 325, avaient condamné Arius, ses partisans et sa doctrine. Partant du Christ tel que révélé dans les Ecritures, le pape d'Egypte démontre que c'est uniquement si le Christ est vrai Dieu qu'il peut nous révéler le mystère de la Trinité, et uniquement s'il est vrai homme qu'il peut diviniser la nature humaine : " Dieu s'est fait homme, pour que l'homme devienne Dieu.
" Bible à l'appui, Athanase défend donc le dogme nicéen de la consubstantialité du Fils au Père, puis, à partir de 362, la consubstantialité de l'Esprit-Saint au Père et au Fils.
Par l'originalité de son traitement du mystère de la Trinité, l'évêque Athanase d'Alexandrie a marqué la tradition théologique jusqu'à nos jours. Athanase retravaille substantiellement la synthèse théologique de ses prédécesseurs, Clément d'Alexandrie et Origène, en fonction du nouveau contexte théologique alexandrin. En effet, Arius, curé de Baukalis à Alexandrie, entreprend vers 318 d'enseigner une doctrine christologique qui tend à nier la divinité du Fils : " Il y eut un temps où le Fils n'existait pas, il est venu a l'existence ex nihilo, comme les autres créatures.
" Face à cette doctrine, Alexandre, le prédécesseur d'Athanase sur le siège d'Alexandrie, puis Athanase lui-même reprennent le flambeau des Pères du concile de Nicée qui, en 325, avaient condamné Arius, ses partisans et sa doctrine. Partant du Christ tel que révélé dans les Ecritures, le pape d'Egypte démontre que c'est uniquement si le Christ est vrai Dieu qu'il peut nous révéler le mystère de la Trinité, et uniquement s'il est vrai homme qu'il peut diviniser la nature humaine : " Dieu s'est fait homme, pour que l'homme devienne Dieu.
" Bible à l'appui, Athanase défend donc le dogme nicéen de la consubstantialité du Fils au Père, puis, à partir de 362, la consubstantialité de l'Esprit-Saint au Père et au Fils.
" Face à cette doctrine, Alexandre, le prédécesseur d'Athanase sur le siège d'Alexandrie, puis Athanase lui-même reprennent le flambeau des Pères du concile de Nicée qui, en 325, avaient condamné Arius, ses partisans et sa doctrine. Partant du Christ tel que révélé dans les Ecritures, le pape d'Egypte démontre que c'est uniquement si le Christ est vrai Dieu qu'il peut nous révéler le mystère de la Trinité, et uniquement s'il est vrai homme qu'il peut diviniser la nature humaine : " Dieu s'est fait homme, pour que l'homme devienne Dieu.
" Bible à l'appui, Athanase défend donc le dogme nicéen de la consubstantialité du Fils au Père, puis, à partir de 362, la consubstantialité de l'Esprit-Saint au Père et au Fils.