Le Chevalier de la Charrette, Chrétien de Troyes. Essai d'interprétation symbolique
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- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- Poids0.2 kg
- Dimensions13,5 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7078-0390-1
- EAN9782707803900
- Date de parution01/03/1991
- ÉditeurNizet (Librairie A-G)
Résumé
Le Chevalier de la Charrette est certainement, avec Perceval ou le Conte du Graal, le plus célèbre roman de Chrétien de Troyes. Car c'est dans ce récit, commandé par Marie de Champagne (la fille d'Aliénor d'Aquitaine et de Louis VII), que l'on croise les fameuses figures de Lancelot et de Guenièvre. Longtemps, on a refusé d'attribuer à ce roman - comme à l'ensemble des romans de Chrétien de Troyes - toute valeur autre que littérale.
Jacques Ribard, prenant à rebours cette tradition de lecture, recherche ici la portée symbolique qui "court comme un fleuve caché" sous la surface bien balisée de la rhétorique arthurienne, afin de dégager "la cohérence profonde et unique de l'oeuvre.
Jacques Ribard, prenant à rebours cette tradition de lecture, recherche ici la portée symbolique qui "court comme un fleuve caché" sous la surface bien balisée de la rhétorique arthurienne, afin de dégager "la cohérence profonde et unique de l'oeuvre.
Le Chevalier de la Charrette est certainement, avec Perceval ou le Conte du Graal, le plus célèbre roman de Chrétien de Troyes. Car c'est dans ce récit, commandé par Marie de Champagne (la fille d'Aliénor d'Aquitaine et de Louis VII), que l'on croise les fameuses figures de Lancelot et de Guenièvre. Longtemps, on a refusé d'attribuer à ce roman - comme à l'ensemble des romans de Chrétien de Troyes - toute valeur autre que littérale.
Jacques Ribard, prenant à rebours cette tradition de lecture, recherche ici la portée symbolique qui "court comme un fleuve caché" sous la surface bien balisée de la rhétorique arthurienne, afin de dégager "la cohérence profonde et unique de l'oeuvre.
Jacques Ribard, prenant à rebours cette tradition de lecture, recherche ici la portée symbolique qui "court comme un fleuve caché" sous la surface bien balisée de la rhétorique arthurienne, afin de dégager "la cohérence profonde et unique de l'oeuvre.