Le château des singes. Le livre d'avant le film de Jean-François Laguionie
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- Nombre de pages95
- PrésentationBroché
- FormatAlbum
- Poids0.515 kg
- Dimensions21,0 cm × 30,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-903823-06-5
- EAN9782903823061
- Date de parution01/12/1992
- ÉditeurGilbert Salachas
Résumé
Ce livre est déjà presque un film. Il a été entrepris et réalisé avec Jean-François Laguionie, auteur de quelques mémorables "cartoons" chargés de récompenses internationales : La Traversée de l'Atlantique à la rame, Gwen, etc... Inspiré par le livre culte d'Italo Calvino ''Le Baron perché", le cinéaste a écrit un conte, Le Singe, qui est devenu un projet de long métrage d'animation : Le Château des singes.
Il a dessiné des personnages, inventé des forée, un palais, un lac, des décors fabuleux - au sens propre. Il en est résulté un livre-album qui raconte le film au conditionnel. On y vit l'aventure de la création à son point de cristallisation. On entend la voix du créateur qui suppute, imagine, hésite, fantasme. A cet égard ce livre est unique. Il préfigure une oeuvre cinématographique, la décrit en train de se faire, explore les chemins de l'adaptation, avec ses différents possibles, ses impasses, ses ouvertures, ses terres vierges.
On comparera, plus tard, cette nébuleuse avec le film fini. On sera surpris atm contraire, conforté dans l'idée que l'on s'en est fait. C'est mieux qu'un jeu de l'esprit : un voyage pays de la création littéraire et cinématographique au pays dei image, des merveilles. Au plaisir immédiat que procure la lecture de la nouvelle et la contemplation des planches du film-livre, s'ajoute le plaisir anticipé de l'attente du film-film.
Imaginez ce qu'eut été un livre d'Orson Welles, Federico Fellini, ou Jacques Becker, au moment où ils entreprenaient Citizen Kane, La Strada, ou Casque d'or.
Il a dessiné des personnages, inventé des forée, un palais, un lac, des décors fabuleux - au sens propre. Il en est résulté un livre-album qui raconte le film au conditionnel. On y vit l'aventure de la création à son point de cristallisation. On entend la voix du créateur qui suppute, imagine, hésite, fantasme. A cet égard ce livre est unique. Il préfigure une oeuvre cinématographique, la décrit en train de se faire, explore les chemins de l'adaptation, avec ses différents possibles, ses impasses, ses ouvertures, ses terres vierges.
On comparera, plus tard, cette nébuleuse avec le film fini. On sera surpris atm contraire, conforté dans l'idée que l'on s'en est fait. C'est mieux qu'un jeu de l'esprit : un voyage pays de la création littéraire et cinématographique au pays dei image, des merveilles. Au plaisir immédiat que procure la lecture de la nouvelle et la contemplation des planches du film-livre, s'ajoute le plaisir anticipé de l'attente du film-film.
Imaginez ce qu'eut été un livre d'Orson Welles, Federico Fellini, ou Jacques Becker, au moment où ils entreprenaient Citizen Kane, La Strada, ou Casque d'or.
Ce livre est déjà presque un film. Il a été entrepris et réalisé avec Jean-François Laguionie, auteur de quelques mémorables "cartoons" chargés de récompenses internationales : La Traversée de l'Atlantique à la rame, Gwen, etc... Inspiré par le livre culte d'Italo Calvino ''Le Baron perché", le cinéaste a écrit un conte, Le Singe, qui est devenu un projet de long métrage d'animation : Le Château des singes.
Il a dessiné des personnages, inventé des forée, un palais, un lac, des décors fabuleux - au sens propre. Il en est résulté un livre-album qui raconte le film au conditionnel. On y vit l'aventure de la création à son point de cristallisation. On entend la voix du créateur qui suppute, imagine, hésite, fantasme. A cet égard ce livre est unique. Il préfigure une oeuvre cinématographique, la décrit en train de se faire, explore les chemins de l'adaptation, avec ses différents possibles, ses impasses, ses ouvertures, ses terres vierges.
On comparera, plus tard, cette nébuleuse avec le film fini. On sera surpris atm contraire, conforté dans l'idée que l'on s'en est fait. C'est mieux qu'un jeu de l'esprit : un voyage pays de la création littéraire et cinématographique au pays dei image, des merveilles. Au plaisir immédiat que procure la lecture de la nouvelle et la contemplation des planches du film-livre, s'ajoute le plaisir anticipé de l'attente du film-film.
Imaginez ce qu'eut été un livre d'Orson Welles, Federico Fellini, ou Jacques Becker, au moment où ils entreprenaient Citizen Kane, La Strada, ou Casque d'or.
Il a dessiné des personnages, inventé des forée, un palais, un lac, des décors fabuleux - au sens propre. Il en est résulté un livre-album qui raconte le film au conditionnel. On y vit l'aventure de la création à son point de cristallisation. On entend la voix du créateur qui suppute, imagine, hésite, fantasme. A cet égard ce livre est unique. Il préfigure une oeuvre cinématographique, la décrit en train de se faire, explore les chemins de l'adaptation, avec ses différents possibles, ses impasses, ses ouvertures, ses terres vierges.
On comparera, plus tard, cette nébuleuse avec le film fini. On sera surpris atm contraire, conforté dans l'idée que l'on s'en est fait. C'est mieux qu'un jeu de l'esprit : un voyage pays de la création littéraire et cinématographique au pays dei image, des merveilles. Au plaisir immédiat que procure la lecture de la nouvelle et la contemplation des planches du film-livre, s'ajoute le plaisir anticipé de l'attente du film-film.
Imaginez ce qu'eut été un livre d'Orson Welles, Federico Fellini, ou Jacques Becker, au moment où ils entreprenaient Citizen Kane, La Strada, ou Casque d'or.
