Le Carnaval Des Gueux. Conscience Ouvriere Et Poesie Burlesque

Par : Guillaume Roquille

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  • Nombre de pages481
  • PrésentationBroché
  • Poids0.745 kg
  • Dimensions15,6 cm × 24,1 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-7297-0542-2
  • EAN9782729705428
  • Date de parution01/01/1996
  • Collectiontransversales
  • ÉditeurPUL

Résumé

L'œuvre de G. Roquille (1804-1860) écrite en patois francoprovençal de la région de Rive-de-Gier restait jusqu'à présent difficilement accessible. Une édition scientifique de l'ensemble des textes dialectaux de cet auteur s'imposait donc. Cet œuvre est avant tout le témoignage d'un ouvrier sur les problèmes sociaux de sa région ou de sa ville. Elle est aussi, sur le mode burlesque, la peinture nostalgique de la société d'une petite ville du bassin stéphanois au début du XIXe siècle, époque marquée par le passage de la vie rurale à l'ère industrielle et par la naissance de la conscience ouvrière qui allait déboucher sur le syndicalisme. Poète engagé, G. Roquille a utilisé l'écriture dialectale pour manifester son appartenance au terroir et sa connivence avec ses semblables, pour faire œuvre comique et aussi pour faire passer des idées qui auraient été plus vite censurées si elles avaient été exprimées dans la langue nationale.
L'œuvre de G. Roquille (1804-1860) écrite en patois francoprovençal de la région de Rive-de-Gier restait jusqu'à présent difficilement accessible. Une édition scientifique de l'ensemble des textes dialectaux de cet auteur s'imposait donc. Cet œuvre est avant tout le témoignage d'un ouvrier sur les problèmes sociaux de sa région ou de sa ville. Elle est aussi, sur le mode burlesque, la peinture nostalgique de la société d'une petite ville du bassin stéphanois au début du XIXe siècle, époque marquée par le passage de la vie rurale à l'ère industrielle et par la naissance de la conscience ouvrière qui allait déboucher sur le syndicalisme. Poète engagé, G. Roquille a utilisé l'écriture dialectale pour manifester son appartenance au terroir et sa connivence avec ses semblables, pour faire œuvre comique et aussi pour faire passer des idées qui auraient été plus vite censurées si elles avaient été exprimées dans la langue nationale.