Le Camp de l'Eternel est d'abord un journal tenu par un poète catholique qui rend compte de ce qu'il peut ressentir et des personnes rencontrées (dont Sara, la femme aimée, une protestante) lors de plusieurs retraites dans des monastères de montagne : Chalais, Currière, la Sainte Baume, les Chambarans, Surieu. Son fils est dominicain. Un long séjour se passe aussi aux Ecornets, la maison de famille.
Le père est mort et la mère démente. La mémoire, la nature, la peinture et Marthe Robin y occupent une grande place. Le Camp, c'est aussi celui de la foi en Dieu et de l'enthousiasme poétique de l'auteur (nature, introspection) face aux épreuves, à ceux qui doutent, cherchent sans s'engager pleinement. Ce doute est représenté par le personnage de Mélanie, une artiste avec laquelle le poète continue à collaborer.
Elle semble le provoquer. Lui est à la fois fasciné et dérangé.
Le Camp de l'Eternel est d'abord un journal tenu par un poète catholique qui rend compte de ce qu'il peut ressentir et des personnes rencontrées (dont Sara, la femme aimée, une protestante) lors de plusieurs retraites dans des monastères de montagne : Chalais, Currière, la Sainte Baume, les Chambarans, Surieu. Son fils est dominicain. Un long séjour se passe aussi aux Ecornets, la maison de famille.
Le père est mort et la mère démente. La mémoire, la nature, la peinture et Marthe Robin y occupent une grande place. Le Camp, c'est aussi celui de la foi en Dieu et de l'enthousiasme poétique de l'auteur (nature, introspection) face aux épreuves, à ceux qui doutent, cherchent sans s'engager pleinement. Ce doute est représenté par le personnage de Mélanie, une artiste avec laquelle le poète continue à collaborer.
Elle semble le provoquer. Lui est à la fois fasciné et dérangé.