Le café-concert à Lyon. XIXe-début XXe siècle
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- Nombre de pages149
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.43 kg
- Dimensions16,4 cm × 24,1 cm × 1,2 cm
- ISBN2-84147-033-4
- EAN9782841470334
- Date de parution01/01/2002
- ÉditeurELAH
Résumé
Né sur les ruines de la goguette, le café-concert connaît un bel essor au cours du Second Empire, son apogée au début de la IIIème République et un déclin irrémédiable qui le fait évoluer vers le music-hall à partir de 1920. Phénomène méconnu dans l'histoire culturelle de Lyon, cette forme de spectacle s'efface derrière l'incontournable pilier de la mémoire collective lyonnaise, l'emblématique Guignol. Même au plus fort de sa fréquentation, le café-concert n'a jamais connu à Lyon un succès comparable à celui de la capitale. Cela confirme-t-il l'idée, répandue du XIXè siècle, selon laquelle Lyon serait peu encline aux débordements de joie, aux festivités et aux divertissements de tous genres ? Le véritable problème n'est-il pas dans le choix culturel de la ville à cette époque ? Le décor est planté. Pour longtemps. La comparaison avec le mode parisien restitue au modèle lyonnais un cadre national, et ni l'histoire sociale ni celle des formes architecturales ne sont laissées pour compte dans cet ouvrage qui complète admirablement notre connaissance de Lyon au XIXè siècle...
Né sur les ruines de la goguette, le café-concert connaît un bel essor au cours du Second Empire, son apogée au début de la IIIème République et un déclin irrémédiable qui le fait évoluer vers le music-hall à partir de 1920. Phénomène méconnu dans l'histoire culturelle de Lyon, cette forme de spectacle s'efface derrière l'incontournable pilier de la mémoire collective lyonnaise, l'emblématique Guignol. Même au plus fort de sa fréquentation, le café-concert n'a jamais connu à Lyon un succès comparable à celui de la capitale. Cela confirme-t-il l'idée, répandue du XIXè siècle, selon laquelle Lyon serait peu encline aux débordements de joie, aux festivités et aux divertissements de tous genres ? Le véritable problème n'est-il pas dans le choix culturel de la ville à cette époque ? Le décor est planté. Pour longtemps. La comparaison avec le mode parisien restitue au modèle lyonnais un cadre national, et ni l'histoire sociale ni celle des formes architecturales ne sont laissées pour compte dans cet ouvrage qui complète admirablement notre connaissance de Lyon au XIXè siècle...