LE BIEN ET LE MAL.. Lettres immorales d'Allemagne et de France
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- Nombre de pages327
- PrésentationBroché
- Poids0.525 kg
- Dimensions15,3 cm × 24,0 cm × 2,6 cm
- ISBN2-221-08257-5
- EAN9782221082577
- Date de parution04/09/1997
- ÉditeurRobert Laffont
Résumé
Tu es allemand, je suis français, ou vice versa. Trois siècles de rivalité, deux guerres mondiales, une atrocité inoubliable et -miracle !-cinquante ans plus tard les ennemis héréditaires se jurent fidélité. Pour toujours ! promettent-ils par beau temps. Qui sait ? redoutent-ils à la moindre crise. Grande première : la paix sur le Rhin. Paradoxe suprême : les économies fusionnent, les passant s'ignorent. Etrange réconciliation : moins je te connais, plus je t'aime ?
La guerre froide avait glacé le souvenir. Aujourd'hui, les questions agaçantes dégèlent. Arrogance française ? Ambitions germaniques ? Le passé est dépassé. L'avenir reste impensé, tant les opinions du Bien et du Mal varient selon qu'on loge à l'est ou à l'ouest du même fleuve.
Qu'y a-t-il de commun entre un Allemand et un Français ? Méditation à double voix, ces lettres tentent la conversion d'une relation extérieure en expérience intérieure. Quand l'Européen dialogue avec lui-même, il ne parle pas seulement monnaie, il interpelle ses penseurs, ses poètes, l'histoire ; il se demande : l'Europe a-t-elle encore une âme ? l'Europe est-elle de nouveau une idée ?
Tu es allemand, je suis français, ou vice versa. Trois siècles de rivalité, deux guerres mondiales, une atrocité inoubliable et -miracle !-cinquante ans plus tard les ennemis héréditaires se jurent fidélité. Pour toujours ! promettent-ils par beau temps. Qui sait ? redoutent-ils à la moindre crise. Grande première : la paix sur le Rhin. Paradoxe suprême : les économies fusionnent, les passant s'ignorent. Etrange réconciliation : moins je te connais, plus je t'aime ?
La guerre froide avait glacé le souvenir. Aujourd'hui, les questions agaçantes dégèlent. Arrogance française ? Ambitions germaniques ? Le passé est dépassé. L'avenir reste impensé, tant les opinions du Bien et du Mal varient selon qu'on loge à l'est ou à l'ouest du même fleuve.
Qu'y a-t-il de commun entre un Allemand et un Français ? Méditation à double voix, ces lettres tentent la conversion d'une relation extérieure en expérience intérieure. Quand l'Européen dialogue avec lui-même, il ne parle pas seulement monnaie, il interpelle ses penseurs, ses poètes, l'histoire ; il se demande : l'Europe a-t-elle encore une âme ? l'Europe est-elle de nouveau une idée ?