Aimer... Comment aimer ? Quel plaisir y a-t-il à être amoureux/se ? Y aurait-t-il la manière, y aurait-t-il un savoir faire amoureux, une façon d'éviter les erreurs, les souffrances, d'obtenir la réciprocité, bref un Art d'aimer ? Quelle place privilégiée occupe l'amour par rapport à nos autres expériences ? Qu'est-ce que l'amour ? Amour s'entend ici au sens plein : inclination pour une personne, désir, désir de fusion et de volupté, voire de durée partagée, passions entre une femme et une femme, un homme et un homme, autant qu'entre une femme et un homme, étant entendu que les sociétés faussent les perspectives en entravant les bonheurs d'aimer en dehors de leurs propres normes. D'une façon plus générale, on peut dire qu'il y a des universaux, encore que les spécificités ne puissent s'y réduire. L'auteur les met en relief, au lieu de les niveler, sans échafauder de ces théories qui pullulent en ce siècle de contre-jours et de pseudosciences humaines. Si les formes " faibles " ou imparfaites, ne sont pas considérées, pour autant, comme des contrefaçons, la préférence, on s'en doute, est donnée ici aux formes " fortes ". Mais il n'y a pas de recette. Il n'y a pas plus de marge que de modèle. Tout désir, tout amour sont des risques, voire des énigmes.
Aimer... Comment aimer ? Quel plaisir y a-t-il à être amoureux/se ? Y aurait-t-il la manière, y aurait-t-il un savoir faire amoureux, une façon d'éviter les erreurs, les souffrances, d'obtenir la réciprocité, bref un Art d'aimer ? Quelle place privilégiée occupe l'amour par rapport à nos autres expériences ? Qu'est-ce que l'amour ? Amour s'entend ici au sens plein : inclination pour une personne, désir, désir de fusion et de volupté, voire de durée partagée, passions entre une femme et une femme, un homme et un homme, autant qu'entre une femme et un homme, étant entendu que les sociétés faussent les perspectives en entravant les bonheurs d'aimer en dehors de leurs propres normes. D'une façon plus générale, on peut dire qu'il y a des universaux, encore que les spécificités ne puissent s'y réduire. L'auteur les met en relief, au lieu de les niveler, sans échafauder de ces théories qui pullulent en ce siècle de contre-jours et de pseudosciences humaines. Si les formes " faibles " ou imparfaites, ne sont pas considérées, pour autant, comme des contrefaçons, la préférence, on s'en doute, est donnée ici aux formes " fortes ". Mais il n'y a pas de recette. Il n'y a pas plus de marge que de modèle. Tout désir, tout amour sont des risques, voire des énigmes.