Le banc aux goélands
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- Nombre de pages275
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.375 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-84478-532-9
- EAN9782844785329
- Date de parution21/03/2007
- CollectionNouvelles
- ÉditeurCheminements/L'A part Editions
- PréfacierGilles Perrault
Résumé
Comment résumer plus de vingt nouvelles ? Peut-être en tentant de les décortiquer un peu pour dégager de grands thèmes comme la blessure jamais complètement refermée de la seconde guerre mondiale, la mort omniprésente, la mer-toile de fond ou personnage à part entière de certaines histoires, la chasse, l'amour, bien sûr, mais encore la solide certitude - qui anime bien des gens - que l'on sait même lorsqu'on ne sait pas, les déconvenues qui guettent celui qui ne vit pas avec son temps, les classes sociales qui n'ont jamais fini de s'affronter, les difficultés que peut présenter la simple pose de papier peint sur les murs d'une chambre, la quête d'un méridien de Greenwich qui se dissimule dans l'herbe de grasses prairies où il prétend faire la pluie et le beau temps, un bon gros chien qui... Eh bien, non, n'en disons pas davantage à son sujet. Un mot de plus serait un mot de trop.
Cette méthode quasi chirurgicale est sans doute une piste possible, qui se brouillerait un peu lorsque ces thèmes s'ajoutent, se croisent, se mêlent. Mais, que l'on arpente les grèves à l'heure où la marée remonte, que l'on s'immerge en plein Pays d'Auge ou au creux de collines du Cotentin, que l'on se retrouve face à soi-même dans la galerie des glaces de tel casino de la côte normande ou face à un ennemi dans la tourmente de certaine longue nuit qui va se lever sur un jour bien plus long encore, ces télescopages façonnent des destins qui, à l'image de la vie, peuvent être cruels ou cocasses, pitoyables ou souriants mais toujours surprenants...
Comment résumer plus de vingt nouvelles ? Peut-être en tentant de les décortiquer un peu pour dégager de grands thèmes comme la blessure jamais complètement refermée de la seconde guerre mondiale, la mort omniprésente, la mer-toile de fond ou personnage à part entière de certaines histoires, la chasse, l'amour, bien sûr, mais encore la solide certitude - qui anime bien des gens - que l'on sait même lorsqu'on ne sait pas, les déconvenues qui guettent celui qui ne vit pas avec son temps, les classes sociales qui n'ont jamais fini de s'affronter, les difficultés que peut présenter la simple pose de papier peint sur les murs d'une chambre, la quête d'un méridien de Greenwich qui se dissimule dans l'herbe de grasses prairies où il prétend faire la pluie et le beau temps, un bon gros chien qui... Eh bien, non, n'en disons pas davantage à son sujet. Un mot de plus serait un mot de trop.
Cette méthode quasi chirurgicale est sans doute une piste possible, qui se brouillerait un peu lorsque ces thèmes s'ajoutent, se croisent, se mêlent. Mais, que l'on arpente les grèves à l'heure où la marée remonte, que l'on s'immerge en plein Pays d'Auge ou au creux de collines du Cotentin, que l'on se retrouve face à soi-même dans la galerie des glaces de tel casino de la côte normande ou face à un ennemi dans la tourmente de certaine longue nuit qui va se lever sur un jour bien plus long encore, ces télescopages façonnent des destins qui, à l'image de la vie, peuvent être cruels ou cocasses, pitoyables ou souriants mais toujours surprenants...