La ville de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso. Urbanité et appartenances en Afrique de l'Ouest
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- Nombre de pages324
- PrésentationBroché
- Poids0.52 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-8111-0798-7
- EAN9782811107987
- Date de parution08/02/2013
- CollectionHommes et Sociétés
- ÉditeurKarthala
Résumé
Toute étude sur l’urbanisation et l’urbanité doit tenir compte du fait qu’aucune ville ne ressemble à une autre. La capitale Ouagadougou et la seconde ville du Burkina Faso, Bobo-Dioulasso, se distinguent l’une de l’autre par leur histoire, leur composition démographique, leur urbanisme, leurs ressources économiques, leurs éléments socioculturels, etc. Leurs habitants s’identifient en tant que « Ouagalais » ou « Bobolais ».
Mais qui sont exactement ces « Bobolais » ? Se caractériser soi-même comme Bobolais ou bien être caractérisé comme tel par d’autres est un élément d’identité urbaine. Bobo-Dioulasso forme un point de jonction dans un réseau ancien de voies commerciales. Pendant la colonisation, la ville s’est transformée en important centre économique d’Afrique Occidentale Française. Au moment de son indépendance, elle était une métropole moderne qui attirait de nombreuses populations des pays avoisinants.
Depuis l’ère coloniale, administrateurs, missionnaires, voyageurs et autres observateurs ont mené des recherches dans la région de Bobo- Dioulasso. Si de nombreuses études ont déjà été réalisées ou consacrées à Bobo-Dioulasso dans diverses disciplines, jusqu’à présent elles faisaient rarement référence les unes aux autres. Cet ouvrage collectif sur Bobo-Dioulasso y remédie en réunissant les contributions d’ethnologues, d’historiens, de linguistes et d’économistes.
Ces contributions se penchent sur la place historique et économique de Bobo-Dioulasso dans la région, sur les transformations coloniales et postcoloniales, ainsi que sur certaines catégories ou groupes sociaux. Elles montrent que l’urbanité et l’appartenance sont des processus dynamiques dans lesquels divers éléments sont déterminants selon la situation sociale ou historique. Katja Werthmann est professeur au Département des Études africaines à l’Université de Leipzig (Allemagne).
Mamadou Lamine Sanogo est directeur de l’Institut des Sciences des Sociétés (INSS) du Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST), à Ouagadougou.
Mais qui sont exactement ces « Bobolais » ? Se caractériser soi-même comme Bobolais ou bien être caractérisé comme tel par d’autres est un élément d’identité urbaine. Bobo-Dioulasso forme un point de jonction dans un réseau ancien de voies commerciales. Pendant la colonisation, la ville s’est transformée en important centre économique d’Afrique Occidentale Française. Au moment de son indépendance, elle était une métropole moderne qui attirait de nombreuses populations des pays avoisinants.
Depuis l’ère coloniale, administrateurs, missionnaires, voyageurs et autres observateurs ont mené des recherches dans la région de Bobo- Dioulasso. Si de nombreuses études ont déjà été réalisées ou consacrées à Bobo-Dioulasso dans diverses disciplines, jusqu’à présent elles faisaient rarement référence les unes aux autres. Cet ouvrage collectif sur Bobo-Dioulasso y remédie en réunissant les contributions d’ethnologues, d’historiens, de linguistes et d’économistes.
Ces contributions se penchent sur la place historique et économique de Bobo-Dioulasso dans la région, sur les transformations coloniales et postcoloniales, ainsi que sur certaines catégories ou groupes sociaux. Elles montrent que l’urbanité et l’appartenance sont des processus dynamiques dans lesquels divers éléments sont déterminants selon la situation sociale ou historique. Katja Werthmann est professeur au Département des Études africaines à l’Université de Leipzig (Allemagne).
Mamadou Lamine Sanogo est directeur de l’Institut des Sciences des Sociétés (INSS) du Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST), à Ouagadougou.
Toute étude sur l’urbanisation et l’urbanité doit tenir compte du fait qu’aucune ville ne ressemble à une autre. La capitale Ouagadougou et la seconde ville du Burkina Faso, Bobo-Dioulasso, se distinguent l’une de l’autre par leur histoire, leur composition démographique, leur urbanisme, leurs ressources économiques, leurs éléments socioculturels, etc. Leurs habitants s’identifient en tant que « Ouagalais » ou « Bobolais ».
Mais qui sont exactement ces « Bobolais » ? Se caractériser soi-même comme Bobolais ou bien être caractérisé comme tel par d’autres est un élément d’identité urbaine. Bobo-Dioulasso forme un point de jonction dans un réseau ancien de voies commerciales. Pendant la colonisation, la ville s’est transformée en important centre économique d’Afrique Occidentale Française. Au moment de son indépendance, elle était une métropole moderne qui attirait de nombreuses populations des pays avoisinants.
Depuis l’ère coloniale, administrateurs, missionnaires, voyageurs et autres observateurs ont mené des recherches dans la région de Bobo- Dioulasso. Si de nombreuses études ont déjà été réalisées ou consacrées à Bobo-Dioulasso dans diverses disciplines, jusqu’à présent elles faisaient rarement référence les unes aux autres. Cet ouvrage collectif sur Bobo-Dioulasso y remédie en réunissant les contributions d’ethnologues, d’historiens, de linguistes et d’économistes.
Ces contributions se penchent sur la place historique et économique de Bobo-Dioulasso dans la région, sur les transformations coloniales et postcoloniales, ainsi que sur certaines catégories ou groupes sociaux. Elles montrent que l’urbanité et l’appartenance sont des processus dynamiques dans lesquels divers éléments sont déterminants selon la situation sociale ou historique. Katja Werthmann est professeur au Département des Études africaines à l’Université de Leipzig (Allemagne).
Mamadou Lamine Sanogo est directeur de l’Institut des Sciences des Sociétés (INSS) du Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST), à Ouagadougou.
Mais qui sont exactement ces « Bobolais » ? Se caractériser soi-même comme Bobolais ou bien être caractérisé comme tel par d’autres est un élément d’identité urbaine. Bobo-Dioulasso forme un point de jonction dans un réseau ancien de voies commerciales. Pendant la colonisation, la ville s’est transformée en important centre économique d’Afrique Occidentale Française. Au moment de son indépendance, elle était une métropole moderne qui attirait de nombreuses populations des pays avoisinants.
Depuis l’ère coloniale, administrateurs, missionnaires, voyageurs et autres observateurs ont mené des recherches dans la région de Bobo- Dioulasso. Si de nombreuses études ont déjà été réalisées ou consacrées à Bobo-Dioulasso dans diverses disciplines, jusqu’à présent elles faisaient rarement référence les unes aux autres. Cet ouvrage collectif sur Bobo-Dioulasso y remédie en réunissant les contributions d’ethnologues, d’historiens, de linguistes et d’économistes.
Ces contributions se penchent sur la place historique et économique de Bobo-Dioulasso dans la région, sur les transformations coloniales et postcoloniales, ainsi que sur certaines catégories ou groupes sociaux. Elles montrent que l’urbanité et l’appartenance sont des processus dynamiques dans lesquels divers éléments sont déterminants selon la situation sociale ou historique. Katja Werthmann est professeur au Département des Études africaines à l’Université de Leipzig (Allemagne).
Mamadou Lamine Sanogo est directeur de l’Institut des Sciences des Sociétés (INSS) du Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST), à Ouagadougou.