La vérité sur les compagnies pharmaceutiques. Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer
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- Nombre de pages317
- PrésentationBroché
- Poids0.435 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,0 cm × 1,7 cm
- ISBN2-922969-02-9
- EAN9782922969023
- Date de parution03/11/2005
- ÉditeurLe mieux-être
- TraducteurPhilippe Even
Résumé
Les grandes firmes pharmaceutiques affirment faire partie d'une industrie à haut risque, mais, année après année, leurs profits les placent de très loin au premier rang toutes industries confondues. L'industrie pharmaceutique se présente comme très innovante, mais, depuis vingt ans, seulement un tout petit nombre de ses médicaments sont réellement nouveaux et ils ne concernent le plus souvent que des pathologies ponctuelles, tandis que les pipelines de nouvelles molécules sont à peu près à sec.
A l'inverse, la plupart des produits qu'elle commercialise en cascade ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l'intéressent. Contrairement à ce qu'elles prétendent et à ce que croit la plupart des gens, les grandes firmes sont devenues de pures machines commerciales qui dépensent beaucoup moins pour la recherche véritable et le développement que pour le marketing.
Les grandes firmes recherchent moins des molécules nouvelles pour traiter des maladies, qu'elles ne promeuvent des maladies pour vendre leurs molécules. Des millions de personnes normales ont été ainsi amenées à croire qu'elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles que " la préhypertension ", "le désordre d'anxiété généralisée", "le dysfonctionnement érectile", "le syndrome prémenstruel dysphorique" ou "le syndrome de reflux cesophagien".
L'industrie exerce une formidable influence sur la formation, l'information et les prescriptions de médicaments des médecins, à travers les réunions, conférences, journaux et publicités qu'elle finance entièrement et à travers les discours mensongers incessants de ses visiteurs médicaux. L'industrie exerce un contrôle presque total sur l'organisation, la gestion, l'analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules, de sorte que la plus grande part de la recherche clinique qu'elle parraine ne produit que des résultats biaisés, qui compromettent sérieusement l'exercice de la médecine et la sécurité des malades.
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l'industrie et de l'inefficacité d'une certaine agence de réglementation.
A l'inverse, la plupart des produits qu'elle commercialise en cascade ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l'intéressent. Contrairement à ce qu'elles prétendent et à ce que croit la plupart des gens, les grandes firmes sont devenues de pures machines commerciales qui dépensent beaucoup moins pour la recherche véritable et le développement que pour le marketing.
Les grandes firmes recherchent moins des molécules nouvelles pour traiter des maladies, qu'elles ne promeuvent des maladies pour vendre leurs molécules. Des millions de personnes normales ont été ainsi amenées à croire qu'elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles que " la préhypertension ", "le désordre d'anxiété généralisée", "le dysfonctionnement érectile", "le syndrome prémenstruel dysphorique" ou "le syndrome de reflux cesophagien".
L'industrie exerce une formidable influence sur la formation, l'information et les prescriptions de médicaments des médecins, à travers les réunions, conférences, journaux et publicités qu'elle finance entièrement et à travers les discours mensongers incessants de ses visiteurs médicaux. L'industrie exerce un contrôle presque total sur l'organisation, la gestion, l'analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules, de sorte que la plus grande part de la recherche clinique qu'elle parraine ne produit que des résultats biaisés, qui compromettent sérieusement l'exercice de la médecine et la sécurité des malades.
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l'industrie et de l'inefficacité d'une certaine agence de réglementation.
Les grandes firmes pharmaceutiques affirment faire partie d'une industrie à haut risque, mais, année après année, leurs profits les placent de très loin au premier rang toutes industries confondues. L'industrie pharmaceutique se présente comme très innovante, mais, depuis vingt ans, seulement un tout petit nombre de ses médicaments sont réellement nouveaux et ils ne concernent le plus souvent que des pathologies ponctuelles, tandis que les pipelines de nouvelles molécules sont à peu près à sec.
A l'inverse, la plupart des produits qu'elle commercialise en cascade ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l'intéressent. Contrairement à ce qu'elles prétendent et à ce que croit la plupart des gens, les grandes firmes sont devenues de pures machines commerciales qui dépensent beaucoup moins pour la recherche véritable et le développement que pour le marketing.
Les grandes firmes recherchent moins des molécules nouvelles pour traiter des maladies, qu'elles ne promeuvent des maladies pour vendre leurs molécules. Des millions de personnes normales ont été ainsi amenées à croire qu'elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles que " la préhypertension ", "le désordre d'anxiété généralisée", "le dysfonctionnement érectile", "le syndrome prémenstruel dysphorique" ou "le syndrome de reflux cesophagien".
L'industrie exerce une formidable influence sur la formation, l'information et les prescriptions de médicaments des médecins, à travers les réunions, conférences, journaux et publicités qu'elle finance entièrement et à travers les discours mensongers incessants de ses visiteurs médicaux. L'industrie exerce un contrôle presque total sur l'organisation, la gestion, l'analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules, de sorte que la plus grande part de la recherche clinique qu'elle parraine ne produit que des résultats biaisés, qui compromettent sérieusement l'exercice de la médecine et la sécurité des malades.
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l'industrie et de l'inefficacité d'une certaine agence de réglementation.
A l'inverse, la plupart des produits qu'elle commercialise en cascade ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l'intéressent. Contrairement à ce qu'elles prétendent et à ce que croit la plupart des gens, les grandes firmes sont devenues de pures machines commerciales qui dépensent beaucoup moins pour la recherche véritable et le développement que pour le marketing.
Les grandes firmes recherchent moins des molécules nouvelles pour traiter des maladies, qu'elles ne promeuvent des maladies pour vendre leurs molécules. Des millions de personnes normales ont été ainsi amenées à croire qu'elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles que " la préhypertension ", "le désordre d'anxiété généralisée", "le dysfonctionnement érectile", "le syndrome prémenstruel dysphorique" ou "le syndrome de reflux cesophagien".
L'industrie exerce une formidable influence sur la formation, l'information et les prescriptions de médicaments des médecins, à travers les réunions, conférences, journaux et publicités qu'elle finance entièrement et à travers les discours mensongers incessants de ses visiteurs médicaux. L'industrie exerce un contrôle presque total sur l'organisation, la gestion, l'analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules, de sorte que la plus grande part de la recherche clinique qu'elle parraine ne produit que des résultats biaisés, qui compromettent sérieusement l'exercice de la médecine et la sécurité des malades.
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l'industrie et de l'inefficacité d'une certaine agence de réglementation.