Dans La trilogie du baron, la vie danse avec la mort. Les personnages l'ont bien compris, et tant bien que mal, ils s'arrangent avec ça. Dans ces pages, il y a l'envers du décor, du beau, où pullulent les cafards et les rats. Il y a aussi le travail à l'usine, les heures et les jours sans fin. C'est entremêlé de luttes antifascistes, de boxe, de spectacles de cirque, de causes plus ou moins perdues qui trouvent un sens dans le comique.
Ce livre proteste, revendique l'insoumission, le droit à la fragilité et à l'incertitude.
Dans La trilogie du baron, la vie danse avec la mort. Les personnages l'ont bien compris, et tant bien que mal, ils s'arrangent avec ça. Dans ces pages, il y a l'envers du décor, du beau, où pullulent les cafards et les rats. Il y a aussi le travail à l'usine, les heures et les jours sans fin. C'est entremêlé de luttes antifascistes, de boxe, de spectacles de cirque, de causes plus ou moins perdues qui trouvent un sens dans le comique.
Ce livre proteste, revendique l'insoumission, le droit à la fragilité et à l'incertitude.