La trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie

Par : Jean Marques-riviere

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  • Nombre de pages290
  • PrésentationBroché
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-36876-089-5
  • EAN9782368760895
  • Date de parution10/03/2023
  • ÉditeurAENCRE

Résumé

Jean-Marie Rivière dit Jean Marquès-Rivière (1903-2000), écrivain et journaliste français, est un bril­lant orientaliste, ancien maçon lui-même. Il mettra un terme à sa très courte expérience de Franc-maçon (dont il restera néanmoins un indélébile initié) en publiant La trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie. S'agissait-il d'un ouvrage impulsif causé par la déception d'un ordre, ou inversement, le point de départ d'une pensée amenée à mûrir et à s'étoffer ? Il or­ganisera en France durant la iie Guerre mondiale l'important départe­ment des Recher­ches et re­crute personnellement les délégués ré­gio­naux et départementaux.
Il est le scénariste du film de Jean Mamy, Forces oc­cul­tes (1943). Colla­bo­rateur au journal Docu­ments ma­çon­niques, rédacteur d'Au Pilori à partir du 4 mars 1943, il est condamné à mort le 1er juin 1949. Curieusement, au regard de son parcours littéraire, Marquès-Rivière aura critiqué et fossoyé pendant plus de soixante ans - une structure brièvement côtoyée - (initié à 24 ans, démissionnaire à la fin de l'année 1930) devenant à ses dépens et comme beaucoup d'au­tres avant lui, un "Frère défroqué" .
"Le scénariste de Forces occultes, Jean Marquès-Rivière, avait lui aussi été Franc-Maçon ; il avait démissionné de la Grande Loge de France en 1931 et écrit plu­sieurs livres pour dénoncer les erreurs et les activités pernicieuses de la Franc-Maçonnerie. Plus heureux que son ex-frère et confrère Mamy, il réussit à se réfu­gier à l'étranger en 1944 et il a échappé ainsi aux épu­rateurs" (Henry Coston).
Jean-Marie Rivière dit Jean Marquès-Rivière (1903-2000), écrivain et journaliste français, est un bril­lant orientaliste, ancien maçon lui-même. Il mettra un terme à sa très courte expérience de Franc-maçon (dont il restera néanmoins un indélébile initié) en publiant La trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie. S'agissait-il d'un ouvrage impulsif causé par la déception d'un ordre, ou inversement, le point de départ d'une pensée amenée à mûrir et à s'étoffer ? Il or­ganisera en France durant la iie Guerre mondiale l'important départe­ment des Recher­ches et re­crute personnellement les délégués ré­gio­naux et départementaux.
Il est le scénariste du film de Jean Mamy, Forces oc­cul­tes (1943). Colla­bo­rateur au journal Docu­ments ma­çon­niques, rédacteur d'Au Pilori à partir du 4 mars 1943, il est condamné à mort le 1er juin 1949. Curieusement, au regard de son parcours littéraire, Marquès-Rivière aura critiqué et fossoyé pendant plus de soixante ans - une structure brièvement côtoyée - (initié à 24 ans, démissionnaire à la fin de l'année 1930) devenant à ses dépens et comme beaucoup d'au­tres avant lui, un "Frère défroqué" .
"Le scénariste de Forces occultes, Jean Marquès-Rivière, avait lui aussi été Franc-Maçon ; il avait démissionné de la Grande Loge de France en 1931 et écrit plu­sieurs livres pour dénoncer les erreurs et les activités pernicieuses de la Franc-Maçonnerie. Plus heureux que son ex-frère et confrère Mamy, il réussit à se réfu­gier à l'étranger en 1944 et il a échappé ainsi aux épu­rateurs" (Henry Coston).