La terre vaine

Par : T-S Eliot
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  • Nombre de pages105
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.06 kg
  • Dimensions10,6 cm × 15,1 cm × 0,5 cm
  • ISBN2-02-026048-4
  • EAN9782020260480
  • Date de parution01/10/1995
  • CollectionL'école des lettres
  • ÉditeurSeuil

Résumé

" Avril est le plus cruel des mois, il engendre Des lilas qui jaillissent de la terre morte, il mêle Souvenance et désir, il réveille Par ses pluies de printemps les racines inertes. L'hiver nous tient chaud, de sa neige oublieuse Couvrant la terre, entretenant De tubercules secs une petite vie. L'été nous surprit, porté par l'averse Sur le Starnbergersee ; nous fîmes halte sous les portiques Et poussâmes, l'éclaircie venue, dans le Hofgarten, Et puis nous prîmes du café, et nous causâmes, Bin gar keine Russin, stamm'aus Litauen, fecht deutsch. Et lorsque nous étions enfants, en visite chez l'archiduc Mon cousin, il m'emmena sur son traîneau Et je pris peur. Marie, dit-il, Marie, cramponne-toi. Et nous voilà partis ! Dans les montagnes, c'est là qu'on se sent libre. Je lis, presque toute la nuit, et l'hiver je gagne le sud. "
" Avril est le plus cruel des mois, il engendre Des lilas qui jaillissent de la terre morte, il mêle Souvenance et désir, il réveille Par ses pluies de printemps les racines inertes. L'hiver nous tient chaud, de sa neige oublieuse Couvrant la terre, entretenant De tubercules secs une petite vie. L'été nous surprit, porté par l'averse Sur le Starnbergersee ; nous fîmes halte sous les portiques Et poussâmes, l'éclaircie venue, dans le Hofgarten, Et puis nous prîmes du café, et nous causâmes, Bin gar keine Russin, stamm'aus Litauen, fecht deutsch. Et lorsque nous étions enfants, en visite chez l'archiduc Mon cousin, il m'emmena sur son traîneau Et je pris peur. Marie, dit-il, Marie, cramponne-toi. Et nous voilà partis ! Dans les montagnes, c'est là qu'on se sent libre. Je lis, presque toute la nuit, et l'hiver je gagne le sud. "
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