La société jardinière

Par : Damien Deville
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  • Nombre de pages164
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.236 kg
  • Dimensions15,0 cm × 20,4 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-7465-2389-0
  • EAN9782746523890
  • Date de parution22/02/2023
  • CollectionSymbiose
  • ÉditeurLe Pommier
  • IllustrateurAurélie El Aïdouni

Résumé

Et si on cessait d'opposer fin du mois et fin du monde ? C'est du moins l'intuition de Damien Deville, qui a mené l'enquête et s'est rendu dans l'un de ces territoires de la France périurbaine, précaire et délaissée, à mille lieues du flux des mégapoles. Alès, capitale des Cévennes. Pays qui fut longtemps celui des hommes noirs (les mineurs), des hommes du feu (la chaudronnerie) et des femmes du fil (le textile), dont les mains avaient tant à raconter.
Mais aujourd'hui, les industries ont fermé. Quel nouveau récit pour dire la vie des habitants de la commune aujourd'hui ? On peut le rechercher sans doute du côté des jardins potagers qui prolifèrent et qui, pour les anciennes populations ouvrières, sont une façon de retour à la terre. Là, chacun plante, bêche ; tout le monde échange outils, semences et savoir-faire. Si bien qu'à la motivation économique, forcément première, viennent se mêler des préoccupations d'ordre social, écologique ou paysager...
Mettant au jour une écologie de la précarité, Damien Deville souligne ainsi comment de simples lopins de terre sont devenus de vrais lieux d'émancipation et permettent de repenser (et de vivre) la liberté différemment. Partant, il ébauche le modèle ce que pourrait être une société si elle était jardinière.
Et si on cessait d'opposer fin du mois et fin du monde ? C'est du moins l'intuition de Damien Deville, qui a mené l'enquête et s'est rendu dans l'un de ces territoires de la France périurbaine, précaire et délaissée, à mille lieues du flux des mégapoles. Alès, capitale des Cévennes. Pays qui fut longtemps celui des hommes noirs (les mineurs), des hommes du feu (la chaudronnerie) et des femmes du fil (le textile), dont les mains avaient tant à raconter.
Mais aujourd'hui, les industries ont fermé. Quel nouveau récit pour dire la vie des habitants de la commune aujourd'hui ? On peut le rechercher sans doute du côté des jardins potagers qui prolifèrent et qui, pour les anciennes populations ouvrières, sont une façon de retour à la terre. Là, chacun plante, bêche ; tout le monde échange outils, semences et savoir-faire. Si bien qu'à la motivation économique, forcément première, viennent se mêler des préoccupations d'ordre social, écologique ou paysager...
Mettant au jour une écologie de la précarité, Damien Deville souligne ainsi comment de simples lopins de terre sont devenus de vrais lieux d'émancipation et permettent de repenser (et de vivre) la liberté différemment. Partant, il ébauche le modèle ce que pourrait être une société si elle était jardinière.
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