La Sédelle. Un arboretum dans son paysage
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- Nombre de pages172
- PrésentationBroché
- Poids0.904 kg
- Dimensions23,5 cm × 26,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-916954-28-8
- EAN9782916954288
- Date de parution07/03/2013
- ÉditeurVerlhac
- PréfacierGilles Clément
Résumé
Second livre chez Verlhac Editions du photographe Yann Monel après La Ballue (2012), dans lequel le célèbre jardinier photographe se consacre à un arboretum niché au beau milieu de la Creuse, celui de la Sédelle. "Depuis la prairie plane et tondue - plage ouverte sur le ciel - se laisser glisser dans la pente et atteindre la Sédelle sauvage en traversant un jardin de surprises, d'ordre et de collections.
Se laisser porter par la logique des pentes et l'enveloppement protecteur des arbres, la douceur des feuillages et de l'ombre jetée sur l'herbe, telle est la première expérience de cet espace portant le nom d'arboretum et dont on oublie l'officielle raison : une promenade à laquelle on ne résiste pas". Gilles Clément.
Se laisser porter par la logique des pentes et l'enveloppement protecteur des arbres, la douceur des feuillages et de l'ombre jetée sur l'herbe, telle est la première expérience de cet espace portant le nom d'arboretum et dont on oublie l'officielle raison : une promenade à laquelle on ne résiste pas". Gilles Clément.
Second livre chez Verlhac Editions du photographe Yann Monel après La Ballue (2012), dans lequel le célèbre jardinier photographe se consacre à un arboretum niché au beau milieu de la Creuse, celui de la Sédelle. "Depuis la prairie plane et tondue - plage ouverte sur le ciel - se laisser glisser dans la pente et atteindre la Sédelle sauvage en traversant un jardin de surprises, d'ordre et de collections.
Se laisser porter par la logique des pentes et l'enveloppement protecteur des arbres, la douceur des feuillages et de l'ombre jetée sur l'herbe, telle est la première expérience de cet espace portant le nom d'arboretum et dont on oublie l'officielle raison : une promenade à laquelle on ne résiste pas". Gilles Clément.
Se laisser porter par la logique des pentes et l'enveloppement protecteur des arbres, la douceur des feuillages et de l'ombre jetée sur l'herbe, telle est la première expérience de cet espace portant le nom d'arboretum et dont on oublie l'officielle raison : une promenade à laquelle on ne résiste pas". Gilles Clément.