La route de mon frère

Par : Markar Melkonian
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  • Nombre de pages404
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.515 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,7 cm
  • ISBN978-2-919131-35-8
  • EAN9782919131358
  • Date de parution01/02/2018
  • ÉditeurThaddée (Editions)
  • AuteurSéta Melkonian
  • TraducteurStéphane Normand

Résumé

Il est de la trempe de Che Guevara. Il y a aussi de l'Indiana Jones en lui. Né en 1957 en Californie, Monté Melkonian (1957-1993) est un petit américain modèle. Il est appelé à une brillante carrière mais c'est un adolescent au caractère bien trempé, avide de liberté et assoiffé de justice. A 18 ans, grand voyageur, polyglotte, il a déjà parcouru le monde. En 1978, il est diplômé en histoire à l'université de Berkeley.
Il veut devenir archéologue, par passion mais aussi pour s'assurer une couverture. Gagné aux idéaux anti-impérialistes en vogue, il rêve de libérer les territoires arméniens occupés par la Turquie. Il rejoint alors l'ASALA (Armée secrète arménienne) et se lance dans le terrorisme révolutionnaire qui le mène en prison, en cavale, et dans une lutte fratricide. C'est alors qu'il se rend en Arménie au début des années 1990.
Il s'illustre dans la guerre au Karabagh. Chef de guerre providentiel, il meurt au combat à 35 ans, et se hisse au rang de héros national.
Il est de la trempe de Che Guevara. Il y a aussi de l'Indiana Jones en lui. Né en 1957 en Californie, Monté Melkonian (1957-1993) est un petit américain modèle. Il est appelé à une brillante carrière mais c'est un adolescent au caractère bien trempé, avide de liberté et assoiffé de justice. A 18 ans, grand voyageur, polyglotte, il a déjà parcouru le monde. En 1978, il est diplômé en histoire à l'université de Berkeley.
Il veut devenir archéologue, par passion mais aussi pour s'assurer une couverture. Gagné aux idéaux anti-impérialistes en vogue, il rêve de libérer les territoires arméniens occupés par la Turquie. Il rejoint alors l'ASALA (Armée secrète arménienne) et se lance dans le terrorisme révolutionnaire qui le mène en prison, en cavale, et dans une lutte fratricide. C'est alors qu'il se rend en Arménie au début des années 1990.
Il s'illustre dans la guerre au Karabagh. Chef de guerre providentiel, il meurt au combat à 35 ans, et se hisse au rang de héros national.