La Coopérative Tiers-Lieux prend et donne la parole sur le mouvement des tiers-lieux, et les tiers-lieux en mouvement, depuis 2011 à celles et ceux qui font, à tou·te·s ces concierges, ces facilitateurs et facilitatrices, ces visionnaires qui ont bel et bien les mains dans le cambouis et pas les deux pieds dans le même sabot ! Suite à la sortie du 10ème numéro de la Revue sur les tiers-lieux, outil d'exploration et d'information sur les tiers-lieux, et à l'occasion de nos 10 ans, nous avons souhaité réalisé un numéro collector compilant la plupart des dossiers "Feed back" , "En chantier" et "Radio moquette" de nos précédents numéros, augmentés d'articles publiés par ailleurs et de bibliographies.
Ce numéro revient sur les enjeux relatifs aux communs et au foncier ; il interroge la solidarité dans et par les tiers-lieux, décrypte les tiers-lieux dits "nourriciers" ; et relate l'ouvrage, individuel ou collectif, des un·e·s et les apprentissages des autres. POURQUOI PRENDRE LA PAROLE ? Mus par une volonté d'affirmation, nous, Coopérative Tiers-Lieux et contributeur·rice·s de la Revue sur les tiers-lieux, prenons la parole pour (nous) présenter, (nous) raconter individuellement et collectivement, mettre des mots sur nos oeuvres communes pour (nous) penser, partager, transmettre, peut-être inspirer, et parfois interpeller.
Volontairement peu guidés, les écrits sont pluriels. Seuls le thème de la Revue, un format et un sujet sont suggérés par la Coopérative Tiers-Lieux aux contributeur·rice·s. Les vocabulaires et les grammaires sont propres à chacun·e et révèlent la diversité des individus et des collectifs, des initiatives et des situations. Nous documentons un mouvement, une dynamique. D'après le Laboratoire d'Innovation Sociale par la Recherche-Action, "les tiers espaces comme "hors-lieux" provoquent des effets de décalage et de bordures, ils offrent la possibilité de nourrir une analyse critique sur la notion de "tiers" comme celle de "lieu", de faciliter un croisement et une diffusion des savoirs à partir des pratiques et d'imaginer d'autres scénarios de développement que nous pourrons mettre en discussion autour de la dimension "populaire" (centralité populaire, économie populaire, cluster populaire, éducation populaire)".
Adhérent au Manifeste du LISRA, la Coopérative Tiers-Lieux s'essaye, tend la plume à ses pairs pour qu'ils s'essayent également à l'écriture réflexive, "une écriture "transfrontalière" par son aptitude à réunir plusieurs modes d'analyse : analyse critique des rapports sociaux, analyse clinique des modes d'implication personnelle en situation, analyse stratégique des logiques de changement". QUE CET ECRIT, SOUS VOS YEUX, FASSE L'OBJET DE DISCUSSIONS VIVANTES.
Parce que le livre reste un objet d'art et de mémoire, nous tenons également à créer des éditions papiers. QUE CET OBJET, ENTRE VOS MAINS, CIRCULE !
La Coopérative Tiers-Lieux prend et donne la parole sur le mouvement des tiers-lieux, et les tiers-lieux en mouvement, depuis 2011 à celles et ceux qui font, à tou·te·s ces concierges, ces facilitateurs et facilitatrices, ces visionnaires qui ont bel et bien les mains dans le cambouis et pas les deux pieds dans le même sabot ! Suite à la sortie du 10ème numéro de la Revue sur les tiers-lieux, outil d'exploration et d'information sur les tiers-lieux, et à l'occasion de nos 10 ans, nous avons souhaité réalisé un numéro collector compilant la plupart des dossiers "Feed back" , "En chantier" et "Radio moquette" de nos précédents numéros, augmentés d'articles publiés par ailleurs et de bibliographies.
Ce numéro revient sur les enjeux relatifs aux communs et au foncier ; il interroge la solidarité dans et par les tiers-lieux, décrypte les tiers-lieux dits "nourriciers" ; et relate l'ouvrage, individuel ou collectif, des un·e·s et les apprentissages des autres. POURQUOI PRENDRE LA PAROLE ? Mus par une volonté d'affirmation, nous, Coopérative Tiers-Lieux et contributeur·rice·s de la Revue sur les tiers-lieux, prenons la parole pour (nous) présenter, (nous) raconter individuellement et collectivement, mettre des mots sur nos oeuvres communes pour (nous) penser, partager, transmettre, peut-être inspirer, et parfois interpeller.
Volontairement peu guidés, les écrits sont pluriels. Seuls le thème de la Revue, un format et un sujet sont suggérés par la Coopérative Tiers-Lieux aux contributeur·rice·s. Les vocabulaires et les grammaires sont propres à chacun·e et révèlent la diversité des individus et des collectifs, des initiatives et des situations. Nous documentons un mouvement, une dynamique. D'après le Laboratoire d'Innovation Sociale par la Recherche-Action, "les tiers espaces comme "hors-lieux" provoquent des effets de décalage et de bordures, ils offrent la possibilité de nourrir une analyse critique sur la notion de "tiers" comme celle de "lieu", de faciliter un croisement et une diffusion des savoirs à partir des pratiques et d'imaginer d'autres scénarios de développement que nous pourrons mettre en discussion autour de la dimension "populaire" (centralité populaire, économie populaire, cluster populaire, éducation populaire)".
Adhérent au Manifeste du LISRA, la Coopérative Tiers-Lieux s'essaye, tend la plume à ses pairs pour qu'ils s'essayent également à l'écriture réflexive, "une écriture "transfrontalière" par son aptitude à réunir plusieurs modes d'analyse : analyse critique des rapports sociaux, analyse clinique des modes d'implication personnelle en situation, analyse stratégique des logiques de changement". QUE CET ECRIT, SOUS VOS YEUX, FASSE L'OBJET DE DISCUSSIONS VIVANTES.
Parce que le livre reste un objet d'art et de mémoire, nous tenons également à créer des éditions papiers. QUE CET OBJET, ENTRE VOS MAINS, CIRCULE !