La realidad y el deseo. Toponymie du découvreur en Amérique espagnole (1492-1520)

Par : Carmen Val Julian, Julien Roger, Marie-Linda Ortega, Marina Mestre-Zaragoza

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  • Nombre de pages377
  • PrésentationBroché
  • Poids0.675 kg
  • Dimensions16,5 cm × 23,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-84788-206-3
  • EAN9782847882063
  • Date de parution01/03/2011
  • ÉditeurENS (Editions)

Résumé

Avec La realidad y el deseo. Toponymie du découvreur en Amérique espagnole (1492-1520), un des derniers travaux de Carmen Val Juliân, disparue en 2004, s'affirme une recherche pionnière, originale et minutieuse, sur la toponymie, l'acte de nomination et ce monde qui fut déclaré Nouveau. L'héritage riche et fécond de celle qui contribua activement au renouveau des études hispaniques tout en enseignant pendant quinze ans à l'ENS de Fontenay/Saint-Cloud et à l'École polytechnique apparaît dans la seconde partie de ce volume, grâce à une vingtaine d'auteurs qui furent proches d'elle et s'inscrivent dans les lignes de recherche qu'elle a développées : écrire l'histoire, réécrire les histoires, nommer l'espace, mesurer le pouvoir des mots. Mais cet ouvrage mémoriel n'aurait pas été complet si des voix plus personnelles n'avaient évoqué, sous toutes ses facettes, la personnalité chaleureuse d'une traductrice, d'une enseignante, d'une chercheuse. Ce volume d'études sur l'Amérique latine et plus largement sur le monde hispanique témoigne de son rayonnement.
Avec La realidad y el deseo. Toponymie du découvreur en Amérique espagnole (1492-1520), un des derniers travaux de Carmen Val Juliân, disparue en 2004, s'affirme une recherche pionnière, originale et minutieuse, sur la toponymie, l'acte de nomination et ce monde qui fut déclaré Nouveau. L'héritage riche et fécond de celle qui contribua activement au renouveau des études hispaniques tout en enseignant pendant quinze ans à l'ENS de Fontenay/Saint-Cloud et à l'École polytechnique apparaît dans la seconde partie de ce volume, grâce à une vingtaine d'auteurs qui furent proches d'elle et s'inscrivent dans les lignes de recherche qu'elle a développées : écrire l'histoire, réécrire les histoires, nommer l'espace, mesurer le pouvoir des mots. Mais cet ouvrage mémoriel n'aurait pas été complet si des voix plus personnelles n'avaient évoqué, sous toutes ses facettes, la personnalité chaleureuse d'une traductrice, d'une enseignante, d'une chercheuse. Ce volume d'études sur l'Amérique latine et plus largement sur le monde hispanique témoigne de son rayonnement.