La question sociale en France depuis 1945
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- Nombre de pages233
- PrésentationBroché
- Poids0.485 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-200-25151-3
- EAN9782200251512
- Date de parution19/02/2000
- CollectionU. Histoire contemporaine
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Au seuil du XXIe siècle, la France, comme d'autres pays, ne peut éluder le défi de la " question sociale " ; on entend par là aussi bien la question rémanente des inégalités sociales relevant de l'histoire du monde du travail que celle, " nouvelle ", de l'exclusion. Cet ouvrage présente l'originalité de ne pas séparer ces deux aspects.
Il aborde, en premier lieu, l'évolution des stratégies développées dans les relations sociales par les trois composantes majeures du " bloc social " : le patronat, les syndicats et l'Etat. Par-delà le déclin de l'action collective en France, l'amorce d'un nouveau système de régulation sociale est-elle perceptible ?
La deuxième partie, centrée sur le problème de l'exclusion, retrace l'évolution de la politique de protection sociale, puis des politiques de l'emploi. L'efficacité des politiques spécifiques d'intégration et d'insertion visant les " publics " les plus menacés est particulièrement interrogée, ainsi que l'aptitude du système éducatif, d'une part, à faire accéder les jeunes qui sortent du système scolaire à des emplois correspondant à leur formation et, d'autre part, à améliorer l'égalisation des chances.
La troisième partie trace le cadre territorial et politique extensif dans lequel sont amenées à se déployer aujourd'hui les stratégies des acteurs et les politiques économiques et sociales de l'Etat. On croise ainsi l'ambition de l'Etat aménageur de réduire les inégalités de développement des territoires et les fractures sociales qui sont inextricablement mêlées.
Enfin, cet ouvrage resitue les défis sociaux majeurs au niveau de l'Union européenne. Il soulève la question de la construction progressive d'un espace social européen, elle-même liée à la dimension politique de l'Europe.
Au seuil du XXIe siècle, la France, comme d'autres pays, ne peut éluder le défi de la " question sociale " ; on entend par là aussi bien la question rémanente des inégalités sociales relevant de l'histoire du monde du travail que celle, " nouvelle ", de l'exclusion. Cet ouvrage présente l'originalité de ne pas séparer ces deux aspects.
Il aborde, en premier lieu, l'évolution des stratégies développées dans les relations sociales par les trois composantes majeures du " bloc social " : le patronat, les syndicats et l'Etat. Par-delà le déclin de l'action collective en France, l'amorce d'un nouveau système de régulation sociale est-elle perceptible ?
La deuxième partie, centrée sur le problème de l'exclusion, retrace l'évolution de la politique de protection sociale, puis des politiques de l'emploi. L'efficacité des politiques spécifiques d'intégration et d'insertion visant les " publics " les plus menacés est particulièrement interrogée, ainsi que l'aptitude du système éducatif, d'une part, à faire accéder les jeunes qui sortent du système scolaire à des emplois correspondant à leur formation et, d'autre part, à améliorer l'égalisation des chances.
La troisième partie trace le cadre territorial et politique extensif dans lequel sont amenées à se déployer aujourd'hui les stratégies des acteurs et les politiques économiques et sociales de l'Etat. On croise ainsi l'ambition de l'Etat aménageur de réduire les inégalités de développement des territoires et les fractures sociales qui sont inextricablement mêlées.
Enfin, cet ouvrage resitue les défis sociaux majeurs au niveau de l'Union européenne. Il soulève la question de la construction progressive d'un espace social européen, elle-même liée à la dimension politique de l'Europe.