Changer de nom ne se résume pas à choisir un pseudonyme. En 1980, Max Genève s'appelait Jean-Marie Geng. Sociologue et polémiste, il vivait et enseignait à Strasbourg.
Pour marquer son entrée en littérature, brûlant ses vaisseaux et prenant des risques, il quitte l'enseignement, s'installe à Paris et se donne le nom d'une ville : Genève.
C'est ce que raconte, entre essai et récit, journal intime et carnet de voyage, la Prise de Genève.
Par l'auteur, chez Zulma, du Château de Béla Bartok, de Ramon ou de l'Ingénieur du silence.
Changer de nom ne se résume pas à choisir un pseudonyme. En 1980, Max Genève s'appelait Jean-Marie Geng. Sociologue et polémiste, il vivait et enseignait à Strasbourg.
Pour marquer son entrée en littérature, brûlant ses vaisseaux et prenant des risques, il quitte l'enseignement, s'installe à Paris et se donne le nom d'une ville : Genève.
C'est ce que raconte, entre essai et récit, journal intime et carnet de voyage, la Prise de Genève.
Par l'auteur, chez Zulma, du Château de Béla Bartok, de Ramon ou de l'Ingénieur du silence.