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Tous nos livres d’occasion ont leurs propres histoires en plus d'en raconter une.
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*Photo non contractuelle. L'édition livrée peut différer de celle commandée.
L'expérience du Dr Alexander est extremement enrichissante et nous apprend beaucoup sur les liens que nous pouvons créer avec l'au-delà, malgré un aspect également terre à terre du récit. Ce livre ouvre l'esprit à de nouveaux horizons, notamment spirituels... à lire absolument
Les descriptions de l'expérience vécue par ce neurochirurgien sont plutôt intéréssantes et bien imagées malgré selon lui les limites du langage et du cerveau humains pour appréhender la complexité de ce qu'il y a au-dessus de nous, tout du moins après.
Malgré quelques airs un peu empreints de messianisme, certains de ses propos paraissent cohérents et athée en ce qui me concerne, je trouve que c'est une manière plutôt optimiste et touchante d'envisager ce qu'il est susceptible de se passer après notre passage sur Terre..
Le docteur Eben Alexander nous entraine, avec "La Preuve du Paradis", dans sa propre expérience de mort imminente. Plus qu'un point de vue lambda, c'est ici l'expérience d'un neurochirurgien qui nous est relaté. Lui donne t'il plus de poids que l'expérience d'un monsieur tout le monde? Rien n'est moins sûr mais Alexander nous montre comment un sceptique pourtant confronté à l'expérience de ses patients va radicalement changer d'avis après son passage dans "l'au-delà".
Je vais essayer de mettre de côté mon propre avis sur la question et me concentrer sur l'ouvrage en lui-même. Cela
va être difficile car j'ai été souvent heurtée par les visions de ce médecin et par les conclusions qu'il en tire. Etant moi-même croyante, j'ai tout de même du mal avec les ouvrages empreints de bondieuseries et fleurant bon l'endoctrinement. Ici, selon moi, nous sommes en plein dedans...
La première moitié de ce témoignage retrace d'un côté l'accident d'Alexander et son voyage mental et de l'autre la dure réalité de la vie de ses proches, unis face au malheur qui les frappe, entre espoir et résignation. Jusqu'ici ce témoignage peut se lire comme un roman et j'ai apprécié ce partage. L'identification à l'un des membres de la famille d'Alexander est aisé car nous avons tous vécu ce genre d'épreuves. Nous sommes ici dans un drame familial pur. Alexander quant à lui n'est plus connecté à cette réalité et parcourt des chemins éthérés que l'ont pourrait presque assimilé à de la science-fiction. Des chants oniriques, des visions nimbées de lumière, des conversations sensorielles, un puit de connaissances spirituelles...
La suite du témoignage relate l'après "réveil" d'Alexander. Peu à peu il va reprendre "vie", réapprendre les gestes du quotidien. Son cerveau en surchauffe va faire le tri dans la masse de données accumulées, analyser son expérience et l'auteur va faire part aux lecteurs de ses conclusions sur le sujet.
Je ne doute pas qu'une telle expérience puisse être déstabilisante, donner lieu à une nouvelle vision de la vie mais fait-elle pour autant d'un athée un apôtre? Alexander évangélise les foules, part dans des considérations religieuses des plus soporifiques et loin de me convaincre m'a fait passer de l'état de curiosité à celui de méfiance. Son dernier chapitre est ni plus ni moins que de la propagande à mes yeux où l'on apprend qu'Eben Alexander a créé une fondation "pour servir le bien supérieur en aidant à créer le meilleur avenir possible pour la terre et ses habitants"... Avec le lien qui va bien vers son site internet qu'il est beau, Alexander m'a fait dresser les cheveux sur la tête et cruellement pensé à un gourou de secte. Peut-être suis-je trop terre à terre pour ce genre de lecture...
=> ma lecture prend une autre dimension, c’est Nelfe qui a porté mon attention sur les deux dernières pages de ce témoignage, que je n’avais pas lues. On y apprend que l’auteur a créé une fondation pour servir « le bien supérieur » et « approfondir son éveil spirituel ». Hum, cela ne m’inspire pas confiance, j’ai la désagréable impression de m’être faite avoir. Il faut dire que le mysticisme religieux présent dans cette histoire m’avait laissée méfiante mais je me suis plutôt concentrée sur le reste, sur cette incroyable expérience de coma. Là, c’est un sentiment
assez amer qui me reste.
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Un témoignage d’un neurochirurgien, reconnu aux Etats-Unis, sur la NDE (ou EMI => expérience de mort imminente) suite à une méningite à E.coli suivie d’un coma, moi, cela m’intéresse. Parce que si je ne crois pas en Dieu ni ne fréquente les églises, j’ai envie de croire en une forme de vie après la mort. De ce point de vue là, cette expérience me semble intéressante à découvrir puisque que les médecins sont réputés pour avoir une vision toute scientifique des choses : » Comme un océan grignote une plage, au fil des années ma vision scientifique du monde érodait ma capacité à croire en quelque chose de plus grand. La science semblait livrer une offensive constante de preuves qui faisaient du sens de notre existence dans l’univers quelque chose de proche de zéro. La croyance, c’était bien joli. Mais la science ne s’intéresse pas à ce qui est joli. Elle s’intéresse à ce qui est. »
Aussi convaincu qu’il le devient, Eben Alexander ne livre pas énormément d’informations sur son expérience. Il livre un récit sur l’amour de sa famille qui a beaucoup prié pour lui (il vient du Sud des Etats-Unis, apparemment réputé pour l’importance des liens familiaux), donne pas mal d’explications médicales (elles sont intéressantes mais ne sont toutefois pas forcément accessibles au lecteur non avisé) et (c’est là mon bémol principal) parle de sa conviction de l’existence de Dieu et d’êtres qui le guiderait (La « Fille sur l’Aile du Papillon » notamment) J’aimerais y croire mais j’ai du mal. Sortie de cette lecture, je reste donc sur mon envie première, celle de croire en une forme de vie après la mort et si je ne suis pas l’auteur dans toutes ses croyances et son mysticisme, ce livre aura au moins réussi à me conforter là-dessus (sans aucune certitudes, entendons-nous bien) même si ce qu’il décrit n’est pas une preuve en soi et pourra toujours être réfuté par démonstrations plus cartésiennes. Suite à l’éclairage de mon premier paragraphe, je ne sais trop que penser de ce livre désormais. Endoctrinement religieux ou sincère témoignage de NDE ? La frontière est floue…
Voilà un sujet pas si facile à aborder car beaucoup de personnes ne croient pas aux EMI (expérience de mort imminente) ou réfutent les témoignages les targuant de farfelus ou d'invérifiables. Les croyances religieuses peuvent aussi s'en mêler et là encore cela brouille les propos. Mais d'un point de vu personnel, je suis très ouverte et pour peu que le discourt soit étayé, cohérent et avec des propos censés, voir qui s'appuient sur des faits mesurés, pourquoi pas. La science n'en n'a pas terminé avec les découvertes et il y a tant de choses qu'on ne sait pas encore expliquer.
L'auteur
est neurochirurgien autant dire qu'il connait en principe mieux que vous et moi la mécanique de notre cerveau même si ce dernier n'a pas livré tous ses secrets. Il va s'appuyer sur son expérience personnelle, mais aussi professionnelle ainsi que sur celles des autres. On est loin de l'ouvrage qui ne repose sur rien de concret tout en étant abordable par tous les lecteurs.
L'auteur est un chercheur, un enseignant, bref une personne avec un sérieux bagage intellectuel et au départ sceptique aussi sur les EMI. Cela m'a plu et c'est avec confiance que je me suis plongée dans ma lecture par d'ailleurs agréable car le style était plus que correct. Tout est bien clair, même les précisions d'ordre médical. On ne se perd pas et on lit l'ensemble d'une traite. J'ai parfois eu l'impression de me retrouver dans une série TV comme "Dr House".
J'ai craint un moment que les convictions religieuses ne l'emportent sur la clairvoyance scientifique, mais heureusement l'auteur à su faire preuve de raisonnement logique et raisonnable chaque fois que nécessaire. Il évoque lui même le fait que la science avait certainement eu raison sur sa volonté de croire en autre chose. Ouf, ce n'est donc pas un fou de Dieu qui écrit.
Cependant, j'ai eu du mal à tout saisir dans ses démonstrations, non pas qu'elles ne fussent pas clairement exprimées, mais parce que sentait qu'effectivement traduire son expérience par de simples mots revenait à tronquer cette réalité vécue.
Même avec un esprit ouvert, j'ai trouvé néanmoins ce récit un peu trop curieux. Cette fois, c'est moi qui ait toutes les peines du monde pour trouver les mots justes. J'avais envie d'y croire, mais c'était un peu trop ou alors pas assez. Bref, l'écho n'était pas satisfaisant.
Dommage.
J'ai eu cette impression jusqu'à la sortie du coma de l'auteur et même un peu au-delà. Cependant par la suite, j'ai retrouvé un raisonnement plus étayé, qui pouvait se comprendre. Un cas unique mais avec des similitudes avec d'autres.
Dire que je suis convaincue, ce serait inexact. Je suis troublée. Cet ouvrage est troublant. Il n'est peut-être pas à mettre entre toutes les mains.
Reste que l'inconnu n'est peut-être pas si effrayant que cela.
Je suis profondément athée (je n’ai reçu aucune éducation religieuse), et je suis convaincue qu’il n’y a rien après la mort. Je suis aussi prompte à considérer tous ceux qui prétendent le contraire comme des charlatans ou des illuminés. Malgré tout quand le site Entrée Livre m’a proposé de lire « La preuve du Paradis : Voyage d’un neurochirurgien dans l’après-vie » du Dr Eben Alexander, j’ai accepté et essayé d’aborder cette lecture sans a-priori.
Brillant chirurgien américain, le docteur Eben Alexander a frôlé la mort suite à une méningite. Durant les
7 jours de coma qu’il a connu, il prétend avoir franchi les portes d’un autre monde.
En ce qui concerne son fameux voyage dans l’au-delà, Eben Alexander a donc vu une grande lumière, une ouverture vers une autre réalité, il s’est soudain senti rempli d’amour et s’est mis à voler en compagnie d’une magnifique jeune femme au milieu des nuages, des papillons et d’êtres scintillants. Il a la gentillesse de nous traduire en « langage terrestre » (!) le message que lui a alors transmis sa jolie compagne : « tu es aimé et chéri, totalement, pour toujours » « Il n’y a rien dont tu doives avoir peur » « Il n’y a rien que tu puisses faire mal ».
Arrivé à ce stade, le fou rire me guette. Je vous épargne le reste qui est du même acabit. La 4ème de couverture me parlait de "faits précis", là où je ne vois qu’une grande fumisterie hallucinatoire, nourrie par l’éducation religieuse de l’auteur (Et il a beau nous affirmer s’être beaucoup éloigné de la religion en vieillissant, ses derniers mots avant se sombrer dans le coma sont quand même « Dieu, aide moi »)
L’auteur et l’éditeur mettent beaucoup en avant le fait qu’Eben Alexander est un éminent scientifique, et que cela donne une autre dimension à cette expérience. J’ai trouvé pour ma part que le profil de l’auteur n’apportait pas grand-chose de plus aux autres récits de ce type, ses fantasmes religieux prenant le plus souvent le pas sur ses connaissances objectives. Il y a bien un court chapitre sur les éventuelles explications physiques et rationnelles de ce qu’il a vécu, mais que l’auteur écarte très vite, trop vite à mon goût.
Eben Alexander ne se contente pas de raconter son EMI (expérience de mort imminente), il parle aussi de sa vie de famille (idyllique), son adoption, son travail, ses vacances… Beaucoup de « moi je », de détails inutiles et inintéressants, servi par un style globalement assez mauvais.
Malgré tout le respect que je peux avoir sur l’expérience dramatique qu’a connu le docteur Eben Alexander, j’ai trouvé ce récit grotesque et j’ai eu l’impression de regarder un mauvais téléfilm américain, plein de clichés et de bons sentiments, qui n’a entamé en rien mon scepticisme sur le sujet.
Je ne suis pas à priori réceptive à ce genre de récit. De culture scientifique, comme l’auteur mais plus modestement, j’aime les choses tangibles, démontrables et vérifiées. Je ne réfute pas les expériences individuelles mais je pense qu’il est difficile d’en tirer des généralités et surtout de les faire admettre à un large public.
...
Penser aux morts que l’on va rejoindre jusqu’à les voir réunis, imaginer des images à partir des discours que l’on entend peut-être en semi-conscience, me semblent normal pour un cerveau léthargique.
Le docteur Eben Alexander
estime de manière très professionnelle que ses visions hyper-réalistes n’étaient pas scientifiquement possibles avec un cerveau ( cortex) anéanti par sa méningite fatale. Noyée dans le vocabulaire scientifique, je suis incapable d’en vérifier l’exactitude.
Curieusement, l’auteur me donne des clés pour comprendre ses sensations. Adepte du parachutisme, Eben Alexander a exécuté de nombreux sauts en chute libre. Frôlant parfois la mort, son corps a ressenti cette sensation de se mouvoir dans des atmosphères particulières à proximité des nuages.
Enfant adopté, Eben a un besoin immense d’être reconnu et aimé. Cette recherche de l’amour inconditionnel dans ce nouveau monde correspond à son vœu le plus cher sur terre.
Inconscient, le Professeur nous décrit ses errements dans le "Monde vu du Ver de Terre" puis dans le Passage qui mène au Cœur, zone d’amour équivalente au Paradis. Il me semble logique qu’en état de coma, l’auteur revive des états largement connus et vécus : flottement du corps, recherche de l’amour.
Bien que les mots soient insuffisants pour transcrire une telle expérience, Eben parvient à faire ressentir la lumière du Passage, l’attirance vers le cœur où le bien-être atteint son apogée. Et là aussi son expérience de la chute libre doit l’aider. Les sensations ne sont guère différentes d’une expérience experte et réussie d’une séance de méditation.
Si je peux comprendre et admettre ce qu’a pu vivre ce neurochirurgien, je suis plus réservée sur son lien rapide avec le Divin. Fort heureusement, l’auteur n’insiste pas trop sur l’influence des prières sur ce miracle. Je ne réfute pas ce pouvoir mais je n’apprécie pas qu’on le galvaude en propos commerciaux. Avec quelques phrases de plus, j’aurais pu sentir le discours d’un recrutement sectaire. Certes, comme le signale l’auteur, nous ne connaissons qu’une infime partie de l’univers et tant de choses peuvent se cacher dans les trous noirs.
Toutefois, l’auteur parvient à diversifier ses approches d’une part en nous donnant des clés sur sa vie personnelle et familiale et d’autre part avec des notions intéressantes comme la pensée préphysique ou le "moi spirituel dont nous nous approchons en manifestant de l’amour et de la compassion."
Même si je n’adhère pas à toutes les déductions de l’auteur, j’ai trouvé quelques points intéressants dans cette lecture.
Le doc Eben Alexander, neurochirurgien émérite étatsunien, tombe dans le coma suite à une méningite bactérienne. Normalement, on ne ressort pas sans séquelles de ce genre de maladie...lui oui ! Et en plus, durant sa semaine comateuse, il a vu le paradis et donc rencontré une entité faite d'amour et de bonté : Dieu !
Les siècles passent, le charlatanisme lui ne change pas. Toujours prêt à exploiter la crédulité humaine, surtout par temps de crise, et désireux de se faire de l'argent sur le dos des indigents, les prédicateurs en tous genres font feu de tout bois. Hélas pour eux,
ils usent, abusent toujours des mêmes procédés grossiers, le bon doc Alexander, malgré sa science, n'innove guère.
Tout d'abord, il met en avant deux mots souvent utilisés par tous les mouvements sectaires : famille et amour. Rien de plus beau, de plus simple que la famille et son amour qui est, c'est bien connu et prouvé, le remède à tout, le seul lieu protégé sur terre. Durant le coma de Mr Eben, la sienne priera beaucoup, ses amis allant même jusqu'à constituer partout aux Etats-Unis des groupes de prières qui lui permettront de quasi ressusciter. Je vous fais grâce du tableau ultra sympa de l'épouse et de ses deux fils aimants comme c'est pas possible, une version de la famille américaine comme il n'en existe même pas dans les séries les plus neuneux.
Autre moyen de faire gober l'impossible aux gogos, le crédit scientifique. Ici, le doc noie ses lecteurs dans des termes scientifiques, techniques et des démonstrations médicales trop complexes pour le commun des mortels, qui peuvent épater le sot, mais dont on devine que leur présence n'est là que pour asseoir une autorité qui n'admettra aucune remarque des personnes incultes à la prose médicale.
Autre technique pour emballer les futurs donateurs à une fondation à but soi-disant non lucratif créée pour l'occase : le repentir. Oui, moi, doc Alexander, j'étais incroyant avant mon coma ! (Entendons-nous bien, il ne pratiquait qu'à Noël et à Pâques mais cela suffit aux states pour faire de lui un incroyant!). Mais depuis que j'ai vu et ressenti la lumière divine, Dieu est partout en moi...
Dernier moyen pour emporter l'adhésion des imbéciles, fourguer dans son verbiage une dose de romanesque à deux balles pour faire larmoyer les foules. Le bon doc Alexander est un enfant adopté. Heureusement pour lui, sa famille adoptive a été aimante (Ah bon, elle pouvait ne pas l'être ? ). Comme elle ne lui avait rien caché de son adoption, il a cherché sa famille biologique. Et, ouf, en la retrouvant, il apprendra qu'avant d'être abandonné, il a été aimé très très fort et qu'il a eu par la suite une soeur, Betsy, hélas morte aujourd'hui....
En conclusion, je ne nie pas le coma de ce brave (!???) doc Eben Alexander mais la médecine rapporterait-elle moins que le charlatanisme ?
Hum, comme dire, sujet embarrassant pour moi.
Je viens de lire quelques nouvelles autour de ce thème, j’étais très dubitative….. et je le reste.
« Quoi, tu oses aller à l’encontre du récit d’un grand neurochirurgien américain ! » Je vous entends déjà. Mais laissez-moi essayer de vous expliquer ce qui m’a gênée dans ce livre :
La religion omniprésente. Cette foi bigoterie qui voudrait déplacer des montagnes sans poser aucune question, moi qui suis dans le doute constant.
Autre chose ; le vocabulaire froid comme coupé au scalpel, normal me direz-vous pour un chirurgien,
ne m’a pas permis d’entrer dans ce livre. J’ai vraiment ressenti qu’Eben Alexandre était plus spectateur qu’acteur de son livre. Peut-être est-cela l’impression d’être sorti de son corps !
OK je me gausse, je me gausse, mais je suis vraiment embarrassée. Est-ce parce que c’est une sommité chirurgicale qui raconte son odyssée alors que, jusqu’à présent, il s’agissait de simples quidams ou d’illuminés (pardon pour cette outrance) ? Est-ce parce que, et oui, cela pourrait exister ?
Eben Alexander raconte son départ vers un monde meilleur, bien propre sur lui, qui ressemble étrangement à celui auquel il croit. Il évoque en long et en large, les raisons de son coma et là, j’ai trouvé que c’était du remplissage délayé. En proportion, peu de choses sur son aller-retour au Paradis.
Mouais, je suis très en retrait de ce livre dont je n’ai pas aimé l’écriture style communication médicale, qui n’a pas su m’intéresser. Quant au contenu il me manque des éclaircissements plus appropriés, non pas sur sa maladie, aussi rare, brutale qu’elle soit, ni sur son entourage à ce moment, là nous avons été gâtés ; mais sur cette expérience E.M.I.
On y croit, on n’y croit pas et je ne pense pas que ce livre modifiera les avis, en tout état de cause, il n’a pas modifié le mien.
Je remercie Entrée Livre et la librairie Decitre pour m’avoir gentiment envoyé cet ouvrage.
Allez voir les chroniques des autres lecteurs sur le site en cliquant sur l’image ou sur le titre et l’auteur.
Prenez le temps de vous poser tranquillement pour lire ce livre. Car c'est une expérience et un témoignage déroutant que nous livre le Dr Eben Alexander. Celui-ci mêle dans son écrit éléments médicaux, sentiment de ses proches face à son coma, son voyage incroyable et le recul qu'il a pris depuis pour comprendre ce qui lui est arrivé.
L'auteur nous parle d'amour et d'espoir, au travers de l'EMI (Expérience de Mort Imminente) qu'il a vécu, et dont il est miraculeusement revenu.
La paradis existe donc vraiment...
Comment ne pas croire à l'expérience de voyage dans l'au-delà d'un neurochirurgien qui ne croit qu'aux données concrètes et aux chiffres ?
Le Dr Alexander est tombé gravement malade à cause d'une méningite à E. coli, maladie très rare, arrêtant les fonctions du cerveau et ne touchant qu'une personne sur 10 millions. Et il a fallu que cette maladie touche un expert du cerveau, un neurochirurgien sur-diplômé.
Dans ce témoignage réel, Eben Alexander nous raconte tout ce qu'il a vécu pendant les 7 jours de profond coma. Mais ce qu'il a vécu est très compliqué à exprimer sur une feuille et les phrases peuvent paraître confuses pour le lecteur.
Un livre qui complète les témoignages des EMI (expériences de mort imminentes) que nous entendons autour de nous.