La photographie humanitaire en question. Entre éthique du photographe et loi du tapage médiatique

Par : Victoire Dewaegeneire

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  • Nombre de pages92
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-336-29904-4
  • EAN9782336299044
  • Date de parution01/07/2013
  • CollectionInter-national. Première synth
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierSerge Regourd

Résumé

En raison de l'incroyable réalisme de l'image qu'elle produit, la photographie a rapidement été considérée comme le support de communication idéal pour toutes les ONG qui souhaitaient sensibiliser le public aux grandes causes humanitaires. Dès la guerre du Biafra, nous avons ainsi été assaillis par ces silhouettes faméliques qui semblaient, en dépit de leur mutisme apparent, nous supplier de les aider.
C'est ce noble objectif qu'elle prétend s'efforcer de poursuivre qui a longtemps tenu la photographie humanitaire à l'écart de toutes critiques, jusqu'à ce que ses excès voyeurs et misérabilistes fassent émerger progressivement un plus grand besoin d'éthique et une meilleure considération des victimes. C'est ainsi que s'est développée une manière alternative de faire de la photographie humanitaire, qui nous apprend à renouveler notre regard sur la souffrance et à voir les victimes autrement.
En raison de l'incroyable réalisme de l'image qu'elle produit, la photographie a rapidement été considérée comme le support de communication idéal pour toutes les ONG qui souhaitaient sensibiliser le public aux grandes causes humanitaires. Dès la guerre du Biafra, nous avons ainsi été assaillis par ces silhouettes faméliques qui semblaient, en dépit de leur mutisme apparent, nous supplier de les aider.
C'est ce noble objectif qu'elle prétend s'efforcer de poursuivre qui a longtemps tenu la photographie humanitaire à l'écart de toutes critiques, jusqu'à ce que ses excès voyeurs et misérabilistes fassent émerger progressivement un plus grand besoin d'éthique et une meilleure considération des victimes. C'est ainsi que s'est développée une manière alternative de faire de la photographie humanitaire, qui nous apprend à renouveler notre regard sur la souffrance et à voir les victimes autrement.