La petite Beauce en ce temps-là. Vivre à Coulommiers-La-Tour : 1920-1950

Par : Gérard Marmion

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages123
  • PrésentationBroché
  • Poids0.345 kg
  • Dimensions16,5 cm × 23,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN2-904736-31-X
  • EAN9782904736315
  • Date de parution01/05/2004
  • ÉditeurCherche-Lune (Editions du)
  • PréfacierAlbert-Jacques Esnault

Résumé

La rencontre d'un homme et d'un village - Gérard Marmion et Coulommiers-la-Tour - est à l'origine de ce livre qui respire la saveur du vécu. Ce n'était plus la Belle Epoque, mais ce fut une belle époque prise en étau entre deux cataclysmes guerriers. Les villages de Petite Beauce s'éveillaient au chant des coqs, la campagne se hérissait de bauges dès l'été venu, résonnait des cris des charretiers ; le bourg s'animait aux mille bruits de l'artisanat et des activités domestiques. La vie chantait, criait, braillait, piaillait à longueur d'année dans les fermes et les rues du bourg ; elle était difficile, rude parfois : alors, les parties de chouine au café, les veillées, l'accordéon du bal ou de la fête repoussaient fatigues et soucis jusqu'au lendemain. Coulommiers-la-Tour, entre 1920 et 1950, ce n'était pas le paradis, mais une petite tranche de vie villageoise où l'enfant de chœur espiègle et l'alerte centenaire avaient le sentiment fort d'appartenir à une même communauté.
La rencontre d'un homme et d'un village - Gérard Marmion et Coulommiers-la-Tour - est à l'origine de ce livre qui respire la saveur du vécu. Ce n'était plus la Belle Epoque, mais ce fut une belle époque prise en étau entre deux cataclysmes guerriers. Les villages de Petite Beauce s'éveillaient au chant des coqs, la campagne se hérissait de bauges dès l'été venu, résonnait des cris des charretiers ; le bourg s'animait aux mille bruits de l'artisanat et des activités domestiques. La vie chantait, criait, braillait, piaillait à longueur d'année dans les fermes et les rues du bourg ; elle était difficile, rude parfois : alors, les parties de chouine au café, les veillées, l'accordéon du bal ou de la fête repoussaient fatigues et soucis jusqu'au lendemain. Coulommiers-la-Tour, entre 1920 et 1950, ce n'était pas le paradis, mais une petite tranche de vie villageoise où l'enfant de chœur espiègle et l'alerte centenaire avaient le sentiment fort d'appartenir à une même communauté.