La peine du vide. Edition en arabe
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- Nombre de pages152
- PrésentationPack
- Poids0.2 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,0 cm × 7,0 cm
- ISBN978-9954-419-72-4
- EAN9789954419724
- Date de parution01/12/2012
- ÉditeurTarik (Editions)
- PréfacierKhalid Jamai
Résumé
L'auteur du best-seller Tazmamart, cellule 10 nous revient avec Mihnat Al Faragh (La peine du vide), recueil d'une vingtaine de nouvelles écrites au fur et à mesure qu'il redécouvre la société marocaine dans ses aspects les plus inattendus. Ce sont des textes dans un arabe plutôt soutenu avec des sorties en darija. Au fil des pages, des histoires s'égrènent émaillées d'une certaine réalité marocaine.
S'y relaient rire, colère, indignation, compassion...Souvent, cela s'agence comme des éclats de souvenirs de l'auteur. D'où sans doute l'impression que cela coule comme de source : histoires de militaires, anciens combattants d'Indochine amateurs de bavardages et de forfanterie, joueurs d'échecs, un élément des Forces auxiliaires maniant un bâtant zélé devant le parlement contre les diplômés chômeurs, un vagabond mort de froid laissant dans ses guenilles des lettres non postées à son fils haut fonctionnaire indigne etc.
La manière de raconter ne manque pas éventuellement de provoquer le rire, ou à tout le moins faire sourire. Marzouki a de la dérision à en revendre, de l'humour noir à travers ses personnages.
S'y relaient rire, colère, indignation, compassion...Souvent, cela s'agence comme des éclats de souvenirs de l'auteur. D'où sans doute l'impression que cela coule comme de source : histoires de militaires, anciens combattants d'Indochine amateurs de bavardages et de forfanterie, joueurs d'échecs, un élément des Forces auxiliaires maniant un bâtant zélé devant le parlement contre les diplômés chômeurs, un vagabond mort de froid laissant dans ses guenilles des lettres non postées à son fils haut fonctionnaire indigne etc.
La manière de raconter ne manque pas éventuellement de provoquer le rire, ou à tout le moins faire sourire. Marzouki a de la dérision à en revendre, de l'humour noir à travers ses personnages.
L'auteur du best-seller Tazmamart, cellule 10 nous revient avec Mihnat Al Faragh (La peine du vide), recueil d'une vingtaine de nouvelles écrites au fur et à mesure qu'il redécouvre la société marocaine dans ses aspects les plus inattendus. Ce sont des textes dans un arabe plutôt soutenu avec des sorties en darija. Au fil des pages, des histoires s'égrènent émaillées d'une certaine réalité marocaine.
S'y relaient rire, colère, indignation, compassion...Souvent, cela s'agence comme des éclats de souvenirs de l'auteur. D'où sans doute l'impression que cela coule comme de source : histoires de militaires, anciens combattants d'Indochine amateurs de bavardages et de forfanterie, joueurs d'échecs, un élément des Forces auxiliaires maniant un bâtant zélé devant le parlement contre les diplômés chômeurs, un vagabond mort de froid laissant dans ses guenilles des lettres non postées à son fils haut fonctionnaire indigne etc.
La manière de raconter ne manque pas éventuellement de provoquer le rire, ou à tout le moins faire sourire. Marzouki a de la dérision à en revendre, de l'humour noir à travers ses personnages.
S'y relaient rire, colère, indignation, compassion...Souvent, cela s'agence comme des éclats de souvenirs de l'auteur. D'où sans doute l'impression que cela coule comme de source : histoires de militaires, anciens combattants d'Indochine amateurs de bavardages et de forfanterie, joueurs d'échecs, un élément des Forces auxiliaires maniant un bâtant zélé devant le parlement contre les diplômés chômeurs, un vagabond mort de froid laissant dans ses guenilles des lettres non postées à son fils haut fonctionnaire indigne etc.
La manière de raconter ne manque pas éventuellement de provoquer le rire, ou à tout le moins faire sourire. Marzouki a de la dérision à en revendre, de l'humour noir à travers ses personnages.