La passion de la presse

Par : Jean Miot

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  • Nombre de pages318
  • PrésentationBroché
  • Poids0.425 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 2,9 cm
  • ISBN978-2-268-06743-8
  • EAN9782268067438
  • Date de parution01/11/2008
  • CollectionUn Nouveau Regard
  • ÉditeurRocher (Editions du)

Résumé

De La Gazette de Théophraste Renaudot (1631), le père fondateur, au journal en ligne, voici " les histoires " de la presse, les portraits de ces entrepreneurs et de ces journalistes qui ont fait la presse française. La crise de la presse ? La France est le premier producteur mondial de magazines, mais elle se traîne au 29e rang pour la lecture des quotidiens. C'est la presse quotidienne qui est malade.
Les causes et les responsables ? Les patrons, cela va de soi ; le syndicat du Livre CGT ; tout le monde le sait ; mais il ne faudrait pas oublier les journalistes. La réponse est aussi dans l'Histoire récente : c'est " le péché originel " de la presse française, commis à la Libération, après qu'elle a été tondue et spoliée. Enfin, à l'heure du big bang Internet, lirons nous encore un journal dans vingt ans ? Oui, répond l'auteur avec conviction : " Parce que l'écran sauvera l'écrit.
"
De La Gazette de Théophraste Renaudot (1631), le père fondateur, au journal en ligne, voici " les histoires " de la presse, les portraits de ces entrepreneurs et de ces journalistes qui ont fait la presse française. La crise de la presse ? La France est le premier producteur mondial de magazines, mais elle se traîne au 29e rang pour la lecture des quotidiens. C'est la presse quotidienne qui est malade.
Les causes et les responsables ? Les patrons, cela va de soi ; le syndicat du Livre CGT ; tout le monde le sait ; mais il ne faudrait pas oublier les journalistes. La réponse est aussi dans l'Histoire récente : c'est " le péché originel " de la presse française, commis à la Libération, après qu'elle a été tondue et spoliée. Enfin, à l'heure du big bang Internet, lirons nous encore un journal dans vingt ans ? Oui, répond l'auteur avec conviction : " Parce que l'écran sauvera l'écrit.
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