La mort à soi comme fondement de l'identité libérée
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- PrésentationBroché
- Poids0.649 kg
- ISBN978-3-8416-2563-2
- EAN9783841625632
- Date de parution07/05/2015
- CollectionOMN.PRES.FRANC.
- ÉditeurAcadémiques
Résumé
S'inscrivant dans la logique de l'Aufhebung, c'est-à-dire de la sursomption, la présente réflexion, intitulée " La mort-à-soi comme fondement de l'identité libérée, essai de réflexion sur l'Aufhebung hégélienne ", se confronte à la problématique hégélienne de la négativité. Celle-ci se révèle comme la clé de voûte du processus de réalisation de l'homme : l'homme doit devenir ce qu'il est effectivement par sa propre négativité ou sa mort-à-soi.
Certes, l'identité est d'emblée et originairement ce qui est égal à soi-même, mais ce n'est qu'à l'issue de l'expérience de la mort-à-soi, traduite par la différenciation de soi et le devenir-autre, que le sujet advient pleinement à soi, qu'il trouve son authenticité comme savoir absolu de soi, c'est-à-dire qu'il est élevé à la sphère spirituelle où il accède à la connaissance de soi et jouit de sa liberté.
La liberté se pose alors comme l'apothéose de l'identité dans la mesure où le sujet libre, ayant sursumé toute altérité ou toute différence excluante, se fait une présence effective dans le monde avec son autre. Ce faisant, sa particularité consiste dans l'intégration à l'Etat et dans l'appartenance à l'universel.
Certes, l'identité est d'emblée et originairement ce qui est égal à soi-même, mais ce n'est qu'à l'issue de l'expérience de la mort-à-soi, traduite par la différenciation de soi et le devenir-autre, que le sujet advient pleinement à soi, qu'il trouve son authenticité comme savoir absolu de soi, c'est-à-dire qu'il est élevé à la sphère spirituelle où il accède à la connaissance de soi et jouit de sa liberté.
La liberté se pose alors comme l'apothéose de l'identité dans la mesure où le sujet libre, ayant sursumé toute altérité ou toute différence excluante, se fait une présence effective dans le monde avec son autre. Ce faisant, sa particularité consiste dans l'intégration à l'Etat et dans l'appartenance à l'universel.
S'inscrivant dans la logique de l'Aufhebung, c'est-à-dire de la sursomption, la présente réflexion, intitulée " La mort-à-soi comme fondement de l'identité libérée, essai de réflexion sur l'Aufhebung hégélienne ", se confronte à la problématique hégélienne de la négativité. Celle-ci se révèle comme la clé de voûte du processus de réalisation de l'homme : l'homme doit devenir ce qu'il est effectivement par sa propre négativité ou sa mort-à-soi.
Certes, l'identité est d'emblée et originairement ce qui est égal à soi-même, mais ce n'est qu'à l'issue de l'expérience de la mort-à-soi, traduite par la différenciation de soi et le devenir-autre, que le sujet advient pleinement à soi, qu'il trouve son authenticité comme savoir absolu de soi, c'est-à-dire qu'il est élevé à la sphère spirituelle où il accède à la connaissance de soi et jouit de sa liberté.
La liberté se pose alors comme l'apothéose de l'identité dans la mesure où le sujet libre, ayant sursumé toute altérité ou toute différence excluante, se fait une présence effective dans le monde avec son autre. Ce faisant, sa particularité consiste dans l'intégration à l'Etat et dans l'appartenance à l'universel.
Certes, l'identité est d'emblée et originairement ce qui est égal à soi-même, mais ce n'est qu'à l'issue de l'expérience de la mort-à-soi, traduite par la différenciation de soi et le devenir-autre, que le sujet advient pleinement à soi, qu'il trouve son authenticité comme savoir absolu de soi, c'est-à-dire qu'il est élevé à la sphère spirituelle où il accède à la connaissance de soi et jouit de sa liberté.
La liberté se pose alors comme l'apothéose de l'identité dans la mesure où le sujet libre, ayant sursumé toute altérité ou toute différence excluante, se fait une présence effective dans le monde avec son autre. Ce faisant, sa particularité consiste dans l'intégration à l'Etat et dans l'appartenance à l'universel.