La morale sans peine

Par : Bruno Viard

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  • Nombre de pages117
  • PrésentationBroché
  • Poids0.095 kg
  • Dimensions10,0 cm × 16,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-915741-22-3
  • EAN9782915741223
  • Date de parution01/06/2008
  • CollectionChemins de pensée
  • ÉditeurOvadia

Résumé

Notre époque ne supporte plus la morale. Elle la réclame de toute part. Ce livre tente de surmonter cette contradiction dans un langage accessible au lecteur sans expérience. Il expose ensuite les sources et les présupposés de la morale sans peine. L'auteur a voulu parcourir tout le prisme des relations humaines de l'échelle psychologique à l'échelle sociale et politique. Par différence avec plusieurs morales pénibles, qu'elles soient chrétiennes ou communistes, qui demandaient trop à l'homme, la morale sans peine veut répondre aux injonctions diverses de notre siècle. Elle veille à ne pas demander à l'homme plus qu'il ne peut donner. Elle s'enracine pour cela dans une hypothèse psychologique méconnue, non freudienne, celle de Paul Diel coordonnée aux découvertes politiques de Pierre Leroux et sociologiques de Marcel Mauss. Elle propose une réconciliation de l'altruisme et de l'égoïsme au nom d'un égoïsme conséquent, et trouve son chemin en revisitant les termes de la triade républicaine. Le pari est de jeter un pont entre psychologie et politique.
Notre époque ne supporte plus la morale. Elle la réclame de toute part. Ce livre tente de surmonter cette contradiction dans un langage accessible au lecteur sans expérience. Il expose ensuite les sources et les présupposés de la morale sans peine. L'auteur a voulu parcourir tout le prisme des relations humaines de l'échelle psychologique à l'échelle sociale et politique. Par différence avec plusieurs morales pénibles, qu'elles soient chrétiennes ou communistes, qui demandaient trop à l'homme, la morale sans peine veut répondre aux injonctions diverses de notre siècle. Elle veille à ne pas demander à l'homme plus qu'il ne peut donner. Elle s'enracine pour cela dans une hypothèse psychologique méconnue, non freudienne, celle de Paul Diel coordonnée aux découvertes politiques de Pierre Leroux et sociologiques de Marcel Mauss. Elle propose une réconciliation de l'altruisme et de l'égoïsme au nom d'un égoïsme conséquent, et trouve son chemin en revisitant les termes de la triade républicaine. Le pari est de jeter un pont entre psychologie et politique.
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