La mémoire spoliée. Les archives des Français, butin de guerre nazi puis soviétique (de 1940 à nos jours)
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- Nombre de pages375
- PrésentationBroché
- Poids0.232 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-228-90904-4
- EAN9782228909044
- Date de parution08/05/2013
- CollectionPetite Bibliothèque Payot
- ÉditeurPayot
Résumé
Août 1940 : l'original du Traité de Versailles est saisi par les Allemands et envoyé à Berlin ; on ne le reverra plus. Comme cette source clé de l'histoire européenne, des millions de documents publics ou privés, archives ministérielles, d'institutions juives ou de la franc-maçonnerie, correspondances, livres, photographies, appartenant à des gens célèbres ou à des anonymes, vont connaître une étrange odyssée: de Paris à Berlin, dès la défaite ; puis de Berlin à Moscou quand les Soviétiques prirent la capitale du Reich; et enfin de Moscou à Paris pour ceux qui furent restitués.
Quel est le sens de ce "mémoricide"? Pourquoi, malgré les enquêtes menées à la libération, le silence est-il retombé sur ces disparitions pendant plus de cinquante ans ?
Quel est le sens de ce "mémoricide"? Pourquoi, malgré les enquêtes menées à la libération, le silence est-il retombé sur ces disparitions pendant plus de cinquante ans ?
Août 1940 : l'original du Traité de Versailles est saisi par les Allemands et envoyé à Berlin ; on ne le reverra plus. Comme cette source clé de l'histoire européenne, des millions de documents publics ou privés, archives ministérielles, d'institutions juives ou de la franc-maçonnerie, correspondances, livres, photographies, appartenant à des gens célèbres ou à des anonymes, vont connaître une étrange odyssée: de Paris à Berlin, dès la défaite ; puis de Berlin à Moscou quand les Soviétiques prirent la capitale du Reich; et enfin de Moscou à Paris pour ceux qui furent restitués.
Quel est le sens de ce "mémoricide"? Pourquoi, malgré les enquêtes menées à la libération, le silence est-il retombé sur ces disparitions pendant plus de cinquante ans ?
Quel est le sens de ce "mémoricide"? Pourquoi, malgré les enquêtes menées à la libération, le silence est-il retombé sur ces disparitions pendant plus de cinquante ans ?