La face cachée de la sobriété
Grand Format
15,00 €
La Loi de Zahavi. Quelle pertinence pour comprendre la construction et la dilatation des espaces-temps de la ville ?
Par : ,Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages90
- PrésentationBroché
- Poids0.17 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,0 cm
- ISBN2-11-085675-0
- EAN9782110856753
- Date de parution21/11/2006
- CollectionRecherches
- ÉditeurPUCA
Résumé
Les gains de vitesse se traduisent par un étalement urbain accentué par le fait que l'automobile permet d'accéder à tout le territoire. De ce fait, un léger gain de vitesse accroît plus que proportionnellement la surface accessible avec le même budget temps transport. Ce qui permet de comprendre pourquoi, après avoir fait la ville, les budgets temps transport sont peut-être en train de la défaire.
Car, si la ville pédestre se devait d'être ramassée sur elle-même pour que chaque point soit accessible à pied, la ville automobile étend le tissu urbain jusqu'à la mettre en pièces. Et cela d'autant plus que l'analyse comparée des villes nord-américaines et européennes montre que les premières, plus motorisées que les secondes, connaissent des BTT motorisés qui augmentent avec le niveau de vie. Il ne faudrait plus alors parler de constance, mais de croissance tendancielle des BTT.
Ces derniers sont donc au coeur de la question que pose cet ouvrage : quelle forme de ville voulons-nous ?
Car, si la ville pédestre se devait d'être ramassée sur elle-même pour que chaque point soit accessible à pied, la ville automobile étend le tissu urbain jusqu'à la mettre en pièces. Et cela d'autant plus que l'analyse comparée des villes nord-américaines et européennes montre que les premières, plus motorisées que les secondes, connaissent des BTT motorisés qui augmentent avec le niveau de vie. Il ne faudrait plus alors parler de constance, mais de croissance tendancielle des BTT.
Ces derniers sont donc au coeur de la question que pose cet ouvrage : quelle forme de ville voulons-nous ?
Les gains de vitesse se traduisent par un étalement urbain accentué par le fait que l'automobile permet d'accéder à tout le territoire. De ce fait, un léger gain de vitesse accroît plus que proportionnellement la surface accessible avec le même budget temps transport. Ce qui permet de comprendre pourquoi, après avoir fait la ville, les budgets temps transport sont peut-être en train de la défaire.
Car, si la ville pédestre se devait d'être ramassée sur elle-même pour que chaque point soit accessible à pied, la ville automobile étend le tissu urbain jusqu'à la mettre en pièces. Et cela d'autant plus que l'analyse comparée des villes nord-américaines et européennes montre que les premières, plus motorisées que les secondes, connaissent des BTT motorisés qui augmentent avec le niveau de vie. Il ne faudrait plus alors parler de constance, mais de croissance tendancielle des BTT.
Ces derniers sont donc au coeur de la question que pose cet ouvrage : quelle forme de ville voulons-nous ?
Car, si la ville pédestre se devait d'être ramassée sur elle-même pour que chaque point soit accessible à pied, la ville automobile étend le tissu urbain jusqu'à la mettre en pièces. Et cela d'autant plus que l'analyse comparée des villes nord-américaines et européennes montre que les premières, plus motorisées que les secondes, connaissent des BTT motorisés qui augmentent avec le niveau de vie. Il ne faudrait plus alors parler de constance, mais de croissance tendancielle des BTT.
Ces derniers sont donc au coeur de la question que pose cet ouvrage : quelle forme de ville voulons-nous ?
