La Libération de l'Alsace. Septembre 1944-mars 1945

Par : Eugène Riedweg

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  • Nombre de pages390
  • PrésentationBroché
  • Poids0.49 kg
  • Dimensions14,6 cm × 21,6 cm × 3,0 cm
  • ISBN979-10-210-0506-8
  • EAN9791021005068
  • Date de parution09/10/2014
  • CollectionL'histoire en batailles
  • ÉditeurTallandier

Résumé

En juillet 1940, l'Allemagne annexe l'Alsace. Septembre 1944 : elle est la dernière partie du pays qu'il faut libérer. Pour Eisenhower, elle n'est qu'un champ de manoeuvre pour conquérir l'Allemagne. Pour Hitler, c'est le Reich, elle doit être défendue à tout prix. Pour De Gaulle, c'est la région la plus chère au coeur de la nation. La libération de la plus grande partie de la France s'est effectuée en trois mois, celle de l'Alsace en demande le double.
De septembre 1944 à mars 1945, les Alliés accumulent les difficultés : manque de logistique, mauvaises conditions climatiques, stratégie du large front défaillante... Et la Wehrmacht, pourtant inférieure en hommes et matériels, multiplie les attaques et les contre-attaques. Quand Eisenhower décide le retrait du 6e groupe d'armées américain, au moment de l'opération Nordwind, l'intervention énergique du général de Gaulle évite la catastrophe.
Après six mois de combats acharnés, le bilan est lourd : 6 000 morts, 22 000 blessés et 3 000 disparus ou prisonniers. Mais la victoire conjointe de la 1re armée française et de la VIIe armée US efface enfin la défaite de 1940. C'est la fin de la dictature nazie, la France peut tenir son rang à la table des vainqueurs.
En juillet 1940, l'Allemagne annexe l'Alsace. Septembre 1944 : elle est la dernière partie du pays qu'il faut libérer. Pour Eisenhower, elle n'est qu'un champ de manoeuvre pour conquérir l'Allemagne. Pour Hitler, c'est le Reich, elle doit être défendue à tout prix. Pour De Gaulle, c'est la région la plus chère au coeur de la nation. La libération de la plus grande partie de la France s'est effectuée en trois mois, celle de l'Alsace en demande le double.
De septembre 1944 à mars 1945, les Alliés accumulent les difficultés : manque de logistique, mauvaises conditions climatiques, stratégie du large front défaillante... Et la Wehrmacht, pourtant inférieure en hommes et matériels, multiplie les attaques et les contre-attaques. Quand Eisenhower décide le retrait du 6e groupe d'armées américain, au moment de l'opération Nordwind, l'intervention énergique du général de Gaulle évite la catastrophe.
Après six mois de combats acharnés, le bilan est lourd : 6 000 morts, 22 000 blessés et 3 000 disparus ou prisonniers. Mais la victoire conjointe de la 1re armée française et de la VIIe armée US efface enfin la défaite de 1940. C'est la fin de la dictature nazie, la France peut tenir son rang à la table des vainqueurs.