S'il y a bien une chose que l'on ne peut enlever à Boris Quercia, c'est bien sa recherche de la limite. Ses romans vont au bout, et dans ce dernier opus "La légende de Santiago", Santiago Quiñones -le narrateur, comme Santiago du Chili -la ville, sont repoussés dans leurs derniers retranchements.
Le premier Santiago est flic, le plus pourri de la ville mais avec un sens aigu de la justice. Le problème c'est que le deuxième, sa ville, est gangrenée par la violence, une violence à toutes les strates de la société. Le flic, pour enrayer celle-ci, va devoir s'enfoncer dedans.
Un justicier dans la plus pure tradition américaine hardboiled dans une modernité terrifiante.
S'il y a bien une chose que l'on ne peut enlever à Boris Quercia, c'est bien sa recherche de la limite. Ses romans vont au bout, et dans ce dernier opus "La légende de Santiago", Santiago Quiñones -le narrateur, comme Santiago du Chili -la ville, sont repoussés dans leurs derniers retranchements.
Le premier Santiago est flic, le plus pourri de la ville mais avec un sens aigu de la justice. Le problème c'est que le deuxième, sa ville, est gangrenée par la violence, une violence à toutes les strates de la société. Le flic, pour enrayer celle-ci, va devoir s'enfoncer dedans.
Un justicier dans la plus pure tradition américaine hardboiled dans une modernité terrifiante.