La légende de Roger Federer
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- Nombre de pages114
- PrésentationBroché
- Poids0.16 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-84960-319-2
- EAN9782849603192
- Date de parution05/04/2012
- ÉditeurDo Bentzinger (Jérôme)
Résumé
C'est le samedi 6 juin 2009 que les auteurs eurent l'idée d'un livre sur Roger Federer. Nous étions la veille de la finale d'une édition de Roland Garros privée depuis les sèmes de finale de Rafael Nadal. Son vainqueur, Robin Soderling, allait affronter (une première pour lui à ce niveau) le champion suisse. Même si le match restait alors à jouer, les auteurs ne doutaient pas que le record de titres en grands chelems de Pete Sampras allait être égalé, car ce Federer-là (le vainqueur de grands chelems), seuls Nadal et Kuerten l'avaient battu Porte d'Auteuil.
Face à cette perspective, ils se disaient qu'ils "allaient voir (lire) ce qu'ils allaient voir (lire)" le lendemain d'un sacre irréversible. En effet, "la Presse" n'allait-elle pas immanquablement s'inscrire dans la lignée de ce qui avait fait naître chez eux une incompréhension grandissante car irréfutée. La source de cette dernière ? La distorsion constatée entre les faits dont ils avaient, en universitaires amoureux de tennis, été les témoins, et la réalité des commentaires exprimés par les observateurs.
Le lundi, a posteriori, ils se dirent qu'un mot illustrait cette distorsion, celui de légende. Ainsi le titre de l'ouvrage, la légende de Roger Federer, ou comment fendre l'armure du conte pour (tenter d') aller à l'analyse.
Face à cette perspective, ils se disaient qu'ils "allaient voir (lire) ce qu'ils allaient voir (lire)" le lendemain d'un sacre irréversible. En effet, "la Presse" n'allait-elle pas immanquablement s'inscrire dans la lignée de ce qui avait fait naître chez eux une incompréhension grandissante car irréfutée. La source de cette dernière ? La distorsion constatée entre les faits dont ils avaient, en universitaires amoureux de tennis, été les témoins, et la réalité des commentaires exprimés par les observateurs.
Le lundi, a posteriori, ils se dirent qu'un mot illustrait cette distorsion, celui de légende. Ainsi le titre de l'ouvrage, la légende de Roger Federer, ou comment fendre l'armure du conte pour (tenter d') aller à l'analyse.
C'est le samedi 6 juin 2009 que les auteurs eurent l'idée d'un livre sur Roger Federer. Nous étions la veille de la finale d'une édition de Roland Garros privée depuis les sèmes de finale de Rafael Nadal. Son vainqueur, Robin Soderling, allait affronter (une première pour lui à ce niveau) le champion suisse. Même si le match restait alors à jouer, les auteurs ne doutaient pas que le record de titres en grands chelems de Pete Sampras allait être égalé, car ce Federer-là (le vainqueur de grands chelems), seuls Nadal et Kuerten l'avaient battu Porte d'Auteuil.
Face à cette perspective, ils se disaient qu'ils "allaient voir (lire) ce qu'ils allaient voir (lire)" le lendemain d'un sacre irréversible. En effet, "la Presse" n'allait-elle pas immanquablement s'inscrire dans la lignée de ce qui avait fait naître chez eux une incompréhension grandissante car irréfutée. La source de cette dernière ? La distorsion constatée entre les faits dont ils avaient, en universitaires amoureux de tennis, été les témoins, et la réalité des commentaires exprimés par les observateurs.
Le lundi, a posteriori, ils se dirent qu'un mot illustrait cette distorsion, celui de légende. Ainsi le titre de l'ouvrage, la légende de Roger Federer, ou comment fendre l'armure du conte pour (tenter d') aller à l'analyse.
Face à cette perspective, ils se disaient qu'ils "allaient voir (lire) ce qu'ils allaient voir (lire)" le lendemain d'un sacre irréversible. En effet, "la Presse" n'allait-elle pas immanquablement s'inscrire dans la lignée de ce qui avait fait naître chez eux une incompréhension grandissante car irréfutée. La source de cette dernière ? La distorsion constatée entre les faits dont ils avaient, en universitaires amoureux de tennis, été les témoins, et la réalité des commentaires exprimés par les observateurs.
Le lundi, a posteriori, ils se dirent qu'un mot illustrait cette distorsion, celui de légende. Ainsi le titre de l'ouvrage, la légende de Roger Federer, ou comment fendre l'armure du conte pour (tenter d') aller à l'analyse.