La Haute Renaissance Et Le Manierisme. L'Italie, Le Nord Et L'Espagne, 1500-1600

Par : Linda Murray

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages286
  • PrésentationBroché
  • Poids0.555 kg
  • Dimensions14,9 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-87811-098-6
  • EAN9782878110982
  • Date de parution01/10/1995
  • Collectionl'univers de l'art
  • ÉditeurThames & Hudson

Résumé

L'art de la Haute Renaissance, dont les principes furent formulés par Léonard de Vinci dans les années 1490, parvint à son plein épanouissement avec Bramante, Raphaël et Michel-Ange à Rome, Michel-Ange encore à Florence, et Giorgione et Titien à Venise. Après la disparition de ces grands maîtres, aux alentours de 1520 les artistes orphelins éprouvèrent des difficultés à donner une direction à leur travail. Les historiens d'art ont appelé cette période le maniérisme, un terme hélas entaché de connotations qui ont nui à l'appréciation de peintres comme le Parmesan, le Pontormo ou Bronzino. Loin d'être un art crépusculaire, le maniérisme est une école à part entière, à la fois portée vers l'avenir baroque et le passé gothique, fondée avant tout sur la primauté du dessin (privilégié par rapport à la couleur) et de la "manière", du style. Linda Murray analyse ici les réalisations artistiques du XVIe siècle, en Italie, le grand foyer de l'époque, et ailleurs en Europe, où le maniérisme acquit une individualité très forte.
L'art de la Haute Renaissance, dont les principes furent formulés par Léonard de Vinci dans les années 1490, parvint à son plein épanouissement avec Bramante, Raphaël et Michel-Ange à Rome, Michel-Ange encore à Florence, et Giorgione et Titien à Venise. Après la disparition de ces grands maîtres, aux alentours de 1520 les artistes orphelins éprouvèrent des difficultés à donner une direction à leur travail. Les historiens d'art ont appelé cette période le maniérisme, un terme hélas entaché de connotations qui ont nui à l'appréciation de peintres comme le Parmesan, le Pontormo ou Bronzino. Loin d'être un art crépusculaire, le maniérisme est une école à part entière, à la fois portée vers l'avenir baroque et le passé gothique, fondée avant tout sur la primauté du dessin (privilégié par rapport à la couleur) et de la "manière", du style. Linda Murray analyse ici les réalisations artistiques du XVIe siècle, en Italie, le grand foyer de l'époque, et ailleurs en Europe, où le maniérisme acquit une individualité très forte.