Cet essai visionnaire de 1947, aussi célèbre que La mère suffisamment bonne, montre que si l'analyste ne reconnaît pas la haine que génèrent en lui les attaques incessantes de ses patients psychotiques ou antisociaux, il ne peut tout bonnement pas leur venir en aide.
Cet essai visionnaire de 1947, aussi célèbre que La mère suffisamment bonne, montre que si l'analyste ne reconnaît pas la haine que génèrent en lui les attaques incessantes de ses patients psychotiques ou antisociaux, il ne peut tout bonnement pas leur venir en aide.