La guerre de Succession de France (1584-1610). Henri IV devait-il être roi ?
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- Nombre de pages384
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.504 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-37933-095-7
- EAN9782379330957
- Date de parution22/03/2023
- ÉditeurPassés Composés
- PréfacierBernard Barbiche
Résumé
D'après les livres d'histoire, l'accession au pouvoir d'Henri IV aurait été la suite logique de la monarchie des Valois : la légitimité du prétendant aurait été incontestable. Pour Fadi El Hage, il n'en est rien, et cette version des faits est amplement contestable. Si le roi de Navarre était un candidat plausible, il y en avait d'autres, et leur légitimité n'avait parfois rien de farfelue. Paris devenue ville ouverte, il lui fallut confirmer qu'il n'était pas qu'un prétendant, mais bel et bien le souverain de l'ensemble des sujets, en dépit de difficultés militaires et de complots qui ne manquèrent pas d'ébranler son autorité voire sa légitimité, finalement consacrée par le poignard de Ravaillac.
C'est à une relecture de cette guerre civile sans pitié, émaillée de trahisons et de crimes, où l'unité du royaume a été mise à l'épreuve, que se livre l'historien. Mais sans jamais postuler qu'Henri IV était le seul candidat de ce qu'on pourrait appeler " la légalité ". Ce conflit fut bien sûr de nature guerrière, mais pas seulement. La bataille de la légitimité se jouait aussi sur le terrain des écrits, chacun y allant de sa démonstration et de sa rhétorique pour prouver les droits au trône de l'un plutôt que ceux de l'autre.
Une relecture inédite d'un des événements les plus célèbres de l'histoire de France, et une brèche ouverte dans la mythologie d'un des rois préférés des Français.
C'est à une relecture de cette guerre civile sans pitié, émaillée de trahisons et de crimes, où l'unité du royaume a été mise à l'épreuve, que se livre l'historien. Mais sans jamais postuler qu'Henri IV était le seul candidat de ce qu'on pourrait appeler " la légalité ". Ce conflit fut bien sûr de nature guerrière, mais pas seulement. La bataille de la légitimité se jouait aussi sur le terrain des écrits, chacun y allant de sa démonstration et de sa rhétorique pour prouver les droits au trône de l'un plutôt que ceux de l'autre.
Une relecture inédite d'un des événements les plus célèbres de l'histoire de France, et une brèche ouverte dans la mythologie d'un des rois préférés des Français.
D'après les livres d'histoire, l'accession au pouvoir d'Henri IV aurait été la suite logique de la monarchie des Valois : la légitimité du prétendant aurait été incontestable. Pour Fadi El Hage, il n'en est rien, et cette version des faits est amplement contestable. Si le roi de Navarre était un candidat plausible, il y en avait d'autres, et leur légitimité n'avait parfois rien de farfelue. Paris devenue ville ouverte, il lui fallut confirmer qu'il n'était pas qu'un prétendant, mais bel et bien le souverain de l'ensemble des sujets, en dépit de difficultés militaires et de complots qui ne manquèrent pas d'ébranler son autorité voire sa légitimité, finalement consacrée par le poignard de Ravaillac.
C'est à une relecture de cette guerre civile sans pitié, émaillée de trahisons et de crimes, où l'unité du royaume a été mise à l'épreuve, que se livre l'historien. Mais sans jamais postuler qu'Henri IV était le seul candidat de ce qu'on pourrait appeler " la légalité ". Ce conflit fut bien sûr de nature guerrière, mais pas seulement. La bataille de la légitimité se jouait aussi sur le terrain des écrits, chacun y allant de sa démonstration et de sa rhétorique pour prouver les droits au trône de l'un plutôt que ceux de l'autre.
Une relecture inédite d'un des événements les plus célèbres de l'histoire de France, et une brèche ouverte dans la mythologie d'un des rois préférés des Français.
C'est à une relecture de cette guerre civile sans pitié, émaillée de trahisons et de crimes, où l'unité du royaume a été mise à l'épreuve, que se livre l'historien. Mais sans jamais postuler qu'Henri IV était le seul candidat de ce qu'on pourrait appeler " la légalité ". Ce conflit fut bien sûr de nature guerrière, mais pas seulement. La bataille de la légitimité se jouait aussi sur le terrain des écrits, chacun y allant de sa démonstration et de sa rhétorique pour prouver les droits au trône de l'un plutôt que ceux de l'autre.
Une relecture inédite d'un des événements les plus célèbres de l'histoire de France, et une brèche ouverte dans la mythologie d'un des rois préférés des Français.