La grande migration
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- Nombre de pages254
- PrésentationRelié
- Poids2.12 kg
- Dimensions25,4 cm × 33,8 cm × 3,5 cm
- ISBN2-86234-286-6
- EAN9782862342863
- Date de parution13/11/1999
- ÉditeurMarval
Résumé
Les vastes herbages du Serengeti et le " plateau doré " du Massaï Mara, véritables sanctuaires pour la vie sauvage africaine, sont l'arène d'un des phénomènes naturels les plus extraordinaires au monde : la grande migration des gnous, un mouvement de masse sur plus de trois mille kilomètres. L'échelle de l'événement est à vous couper le souffle : un million et demi de gnous se déplaçant au même moment, quelque six cent mille zèbres et gazelles, sans compter les éléphants, les antilopes et les prédateurs toujours vigilants. Après avoir parcouru d'immenses plaines et de véritables océans d'herbe, le moment le plus dramatique pour les gnous est la traversée de la rivière Mara avec ses courants tourbillonnants, ses crocodiles et ses hippopotames à l'affût. Des milliers de gnous meurent en tentant d'atteindre la rive opposée, piétinés, étouffés dans ce combat pour survivre.
Pendant six années, Carlo Mari a suivi la migration de ces animaux et les a observés se précipiter implacablement d'un horizon à l'autre en colonnes compactes. Ses photographies rendent compte du dynamisme et du courage des troupeaux, de leur comportement inné, de leur conquête de nouveaux espaces, de leur détermination à survivre et à se multiplier. Ces images révèlent l'équilibre précaire dans lequel vivent tous ces animaux. La grande migration nous offre un aperçu de permanence de la vie, un cercle de naissance et de mort, un voyage mystérieux sans commencement ni fin.
Les vastes herbages du Serengeti et le " plateau doré " du Massaï Mara, véritables sanctuaires pour la vie sauvage africaine, sont l'arène d'un des phénomènes naturels les plus extraordinaires au monde : la grande migration des gnous, un mouvement de masse sur plus de trois mille kilomètres. L'échelle de l'événement est à vous couper le souffle : un million et demi de gnous se déplaçant au même moment, quelque six cent mille zèbres et gazelles, sans compter les éléphants, les antilopes et les prédateurs toujours vigilants. Après avoir parcouru d'immenses plaines et de véritables océans d'herbe, le moment le plus dramatique pour les gnous est la traversée de la rivière Mara avec ses courants tourbillonnants, ses crocodiles et ses hippopotames à l'affût. Des milliers de gnous meurent en tentant d'atteindre la rive opposée, piétinés, étouffés dans ce combat pour survivre.
Pendant six années, Carlo Mari a suivi la migration de ces animaux et les a observés se précipiter implacablement d'un horizon à l'autre en colonnes compactes. Ses photographies rendent compte du dynamisme et du courage des troupeaux, de leur comportement inné, de leur conquête de nouveaux espaces, de leur détermination à survivre et à se multiplier. Ces images révèlent l'équilibre précaire dans lequel vivent tous ces animaux. La grande migration nous offre un aperçu de permanence de la vie, un cercle de naissance et de mort, un voyage mystérieux sans commencement ni fin.