La grande bouffe. Peintures comiques dans l'Italie de la Renaissance

Par : Sophie Laroche, Christophe Brouard
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  • Nombre de pages88
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.454 kg
  • Dimensions20,1 cm × 25,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-35906-221-2
  • EAN9782359062212
  • Date de parution26/10/2017
  • ÉditeurLienart
  • AuteurValérie Boudier
  • AuteurSarah Chanteux

Résumé

La peinture comique, spontanément rapprochée des gueuseries paysannes d'un Bruegel l'Ancien ou d'un Jan Steen, trouve une expression originale dans l'Italie de la Renaissance. Annibale Carracci, Vincenzo Campi et Bartolomeo Passerotti sont considérés comme les maîtres du genre. Le Vénitien Niccolò Frangipane excella aussi dans ce registre et la présence d'une Scène bachique attribuée au peintre dans les collections du musée Saint-Léger, à Soissons, et sa restauration, ont inspiré une exposition inédite sur ce thème.
Prenant appui sur un corpus d'oeuvres conservées en France et réunies pour la première fois, cette étude du burlesco, envisagée plus spécifiquement sous l'angle du repas, s'intéresse également à la réappropriation de cet univers pictural par le cinéma italien. L'exposition et son catalogue offrent une invitation à la "Grande Bouffe", teIle que Marco Ferreri l'avait imaginée dans son long métrage d'anthologie.
La peinture comique, spontanément rapprochée des gueuseries paysannes d'un Bruegel l'Ancien ou d'un Jan Steen, trouve une expression originale dans l'Italie de la Renaissance. Annibale Carracci, Vincenzo Campi et Bartolomeo Passerotti sont considérés comme les maîtres du genre. Le Vénitien Niccolò Frangipane excella aussi dans ce registre et la présence d'une Scène bachique attribuée au peintre dans les collections du musée Saint-Léger, à Soissons, et sa restauration, ont inspiré une exposition inédite sur ce thème.
Prenant appui sur un corpus d'oeuvres conservées en France et réunies pour la première fois, cette étude du burlesco, envisagée plus spécifiquement sous l'angle du repas, s'intéresse également à la réappropriation de cet univers pictural par le cinéma italien. L'exposition et son catalogue offrent une invitation à la "Grande Bouffe", teIle que Marco Ferreri l'avait imaginée dans son long métrage d'anthologie.