La France de 1898 à 1940

Par : Fabrice Laroulandie

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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • Poids0.67 kg
  • Dimensions17,6 cm × 26,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN2-7298-9633-3
  • EAN9782729896331
  • Date de parution01/03/1996
  • ÉditeurEllipses

Résumé

La France de 1898 à 1940 est le premier volume d'une tétralogie couvrant l'ensemble du programme d'histoire à l'examen d'entrée à Sciences Po. Composé de vingt plans détaillés (de l'affaire Dreyfus à l'année 1940), ce livre se veut à la fois un manuel et un recueil de dissertations. Son but est d'offrir un panorama des grands sujets traités sous forme de synthèses d'une dizaine de pages chacune. Elles sont accompagnées de notices sur des points bien précis, destinées à préparer l'épreuve des Questions Multiples. Chaque synthèse est précédée d'une courte bibliographie mentionnant les ouvrages de référence. On trouvera une bibliographie récapitulative en fin de volume.
La France de 1898 à 1940 est le premier volume d'une tétralogie couvrant l'ensemble du programme d'histoire à l'examen d'entrée à Sciences Po. Composé de vingt plans détaillés (de l'affaire Dreyfus à l'année 1940), ce livre se veut à la fois un manuel et un recueil de dissertations. Son but est d'offrir un panorama des grands sujets traités sous forme de synthèses d'une dizaine de pages chacune. Elles sont accompagnées de notices sur des points bien précis, destinées à préparer l'épreuve des Questions Multiples. Chaque synthèse est précédée d'une courte bibliographie mentionnant les ouvrages de référence. On trouvera une bibliographie récapitulative en fin de volume.

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5/5
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Légendaire
Cet ouvrage est aussi rare que brillant, tant dans sa forme que son contenu. Fabrice Laroulandie, historien et remarquable professeur en classe préparatoire B/L au lycée Janson de Sailly, en offre régulièrement des extraits lors de la première année. L'acquisition de cet ouvrage de génie est indispensable à toute bibliothèque d'homme de lettres, de sciences et d'amour ; en outre, les femmes aussi y trouveront leur compte, car le génie historique de M. Laroulandie ne saurait se limiter à un seul genre ; d'aucuns diraient que les personnes ne s'identifiant pas à ces deux genres se délecteront également du docte et habile contenu de cette encyclopédie du de la première moitié du XXe siècle – que dis-je ? de cette Bible, de ce Coran, de ce livre de vérité et d'illumination laroulandesque. Tel Charles Péguy dans les années 1900, le lecteur avide de connaissances et de sens ne pourra que connaître cette révélation, ne pourra que voir cette lumière céleste venant des confins de la glorieuse histoire de France et gracieusement véhiculée par M. Laroulandie. Alors, et alors seulement, l'histoire sera source de béatitude et d'amour pour le Monde. Je ne saurai mieux conclure ce commentaire qu'en citant le maître lui-même, afin d'éveiller chez les profanes l'intérêt pour le contenu dense et ordonnée de sa pensée : à propos du « nationalisme de synthèse » (Jean Touchard) de Charles Péguy, qui fédère plusieurs formes de nationalisme, M. Laroulandie affirme que « Les -ismes sont des isthmes ».
Cet ouvrage est aussi rare que brillant, tant dans sa forme que son contenu. Fabrice Laroulandie, historien et remarquable professeur en classe préparatoire B/L au lycée Janson de Sailly, en offre régulièrement des extraits lors de la première année. L'acquisition de cet ouvrage de génie est indispensable à toute bibliothèque d'homme de lettres, de sciences et d'amour ; en outre, les femmes aussi y trouveront leur compte, car le génie historique de M. Laroulandie ne saurait se limiter à un seul genre ; d'aucuns diraient que les personnes ne s'identifiant pas à ces deux genres se délecteront également du docte et habile contenu de cette encyclopédie du de la première moitié du XXe siècle – que dis-je ? de cette Bible, de ce Coran, de ce livre de vérité et d'illumination laroulandesque. Tel Charles Péguy dans les années 1900, le lecteur avide de connaissances et de sens ne pourra que connaître cette révélation, ne pourra que voir cette lumière céleste venant des confins de la glorieuse histoire de France et gracieusement véhiculée par M. Laroulandie. Alors, et alors seulement, l'histoire sera source de béatitude et d'amour pour le Monde. Je ne saurai mieux conclure ce commentaire qu'en citant le maître lui-même, afin d'éveiller chez les profanes l'intérêt pour le contenu dense et ordonnée de sa pensée : à propos du « nationalisme de synthèse » (Jean Touchard) de Charles Péguy, qui fédère plusieurs formes de nationalisme, M. Laroulandie affirme que « Les -ismes sont des isthmes ».