La force du don. La gratuité en question

Par : Emmanuel de Clercq
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  • Nombre de pages491
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.69 kg
  • Dimensions15,4 cm × 24,0 cm × 3,2 cm
  • ISBN978-2-36452-814-7
  • EAN9782364528147
  • Date de parution02/03/2022
  • ÉditeurSaint-Léger Editions
  • PréfacierNicolas de Bremond d'Ars

Résumé

Pourquoi les Paroles de Dieu sont-elles parfois difficiles à entendre ? Le magistère catholique nous dit pourtant bien que le salut ne se paye ni ne s'achète : la porte est Jésus et Jésus est gratuit ! Cependant, quand on y pense vraiment, la notion de gratuité dans l'agir est-elle pensable ? Achetonsnous quelque chose lorsque nous donnons au pauvre ? Le mérite compte-t-il ? Etonnons-nous de l'expérience du don ? S'il y a réciprocité, comment donner à Dieu quelque chose qu'il n'ait pas déjà ? Pouvons-nous être "ses amis" ? L'idée de questionner philosophiquement le principe de gratuité en rapport avec la logique du don part d'une méditation de la doctrine sociale de l'Eglise (Ch.
I et II) et d'une recherche d'interprétation de cette crux interpretum que constitue la parabole de l'intendant infidèle (Ch. VII). De quoi parlons-nous (Ch. III philologie) ? Au risque de paraître égoïste, s'agit-il d'un mensonge social ? Si Job agit selon la justice, estce gratuitement ?
Pourquoi les Paroles de Dieu sont-elles parfois difficiles à entendre ? Le magistère catholique nous dit pourtant bien que le salut ne se paye ni ne s'achète : la porte est Jésus et Jésus est gratuit ! Cependant, quand on y pense vraiment, la notion de gratuité dans l'agir est-elle pensable ? Achetonsnous quelque chose lorsque nous donnons au pauvre ? Le mérite compte-t-il ? Etonnons-nous de l'expérience du don ? S'il y a réciprocité, comment donner à Dieu quelque chose qu'il n'ait pas déjà ? Pouvons-nous être "ses amis" ? L'idée de questionner philosophiquement le principe de gratuité en rapport avec la logique du don part d'une méditation de la doctrine sociale de l'Eglise (Ch.
I et II) et d'une recherche d'interprétation de cette crux interpretum que constitue la parabole de l'intendant infidèle (Ch. VII). De quoi parlons-nous (Ch. III philologie) ? Au risque de paraître égoïste, s'agit-il d'un mensonge social ? Si Job agit selon la justice, estce gratuitement ?