La flamme du Shabbat
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- Nombre de pages290
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-271-07152-1
- EAN9782271071521
- Date de parution10/03/2011
- CollectionBibliothèque Terre humaine
- ÉditeurCNRS
- TraducteurLéa Rittel
- TraducteurMarc Rittel
Résumé
Modeste ouvrier de Wolbrom, petite ville polonaise située près de Cracovie, et d’Auschwitz, Josef
Erlich nous fait vivre de l’intérieur, minute après minute, le déroulement de ce jour sacré durant
lequel se tisse le lien entre le juif et son Dieu. La préparation du shabbat commence dès le jeudi. La fête, temps fort de la semaine, débute vendredi soir avec l’obligation pour toute femme juive de plus de trois ans d’allumer les bougies. Elle s’achève le samedi soir par une cérémonie qui distingue le jour sacré des autres. La tradition veut que les 613 prescriptions qui régissent le comportement des parents et des enfants de la modeste famille, sur fond d’hiver rigoureux et de pauvreté, doivent assurer la restauration de l’état de perfection dans lequel se trouvaient non seulement l’homme mais Dieu avant la chute...La description minutieuse des rites suivis en familles, des offices réservés aux hommes, de l’habillement et des nourritures, des tâches ménagères incessantes de la mère, de la gravité affectueuse du père, de l’hostilité ou du paternalisme des non-juifs, restituent d’une manière
émouvante un monde disparu.
Modeste ouvrier de Wolbrom, petite ville polonaise située près de Cracovie, et d’Auschwitz, Josef
Erlich nous fait vivre de l’intérieur, minute après minute, le déroulement de ce jour sacré durant
lequel se tisse le lien entre le juif et son Dieu. La préparation du shabbat commence dès le jeudi. La fête, temps fort de la semaine, débute vendredi soir avec l’obligation pour toute femme juive de plus de trois ans d’allumer les bougies. Elle s’achève le samedi soir par une cérémonie qui distingue le jour sacré des autres. La tradition veut que les 613 prescriptions qui régissent le comportement des parents et des enfants de la modeste famille, sur fond d’hiver rigoureux et de pauvreté, doivent assurer la restauration de l’état de perfection dans lequel se trouvaient non seulement l’homme mais Dieu avant la chute...La description minutieuse des rites suivis en familles, des offices réservés aux hommes, de l’habillement et des nourritures, des tâches ménagères incessantes de la mère, de la gravité affectueuse du père, de l’hostilité ou du paternalisme des non-juifs, restituent d’une manière
émouvante un monde disparu.