La fin de la modernité.. Nihilisme et herméneutique dans la culture post-moderne
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- Nombre de pages184
- PrésentationBroché
- Poids0.21 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-02-009608-0
- EAN9782020096089
- Date de parution01/04/1987
- CollectionL'ordre philosophique
- ÉditeurSeuil
Résumé
L'auteur propose ici, en philosophe, un miroir à notre temps. Une lecture de Heidegger par Nietzsche, l'entreprise peut paraître paradoxale : elle doit, pour Gianni Vattimo, souligner qu'il n'y a pas de " dépassement " de l'âge de la technique et qu'un ancrage ontologique nous demeure aujourd'hui interdit. Autrement dit, que notre temps est celui du nihilisme. C'est sur cette base que Gianni Vattimo a proposé naguère le concept de pensiero debole - qu'on peut traduire approximativement comme : il n'y a plus de pensée dogmatique possible, seulement une pensée souple ou " faible ". C'est ce qui lui permet de donner une analyse de l'art " postmoderne " comme celui pour lequel l'histoire a cessé de recouvrir l'idée d'un progrès. Et c'est ce qui lui permet encore de mettre à nu, sous l'idée de modernité, celle d'idolâtrie du nouveau. La pensée post-moderne est alors celle qui ne se reconnaît plus d'autres ressources que la mobilité de l'interprétation.
L'auteur propose ici, en philosophe, un miroir à notre temps. Une lecture de Heidegger par Nietzsche, l'entreprise peut paraître paradoxale : elle doit, pour Gianni Vattimo, souligner qu'il n'y a pas de " dépassement " de l'âge de la technique et qu'un ancrage ontologique nous demeure aujourd'hui interdit. Autrement dit, que notre temps est celui du nihilisme. C'est sur cette base que Gianni Vattimo a proposé naguère le concept de pensiero debole - qu'on peut traduire approximativement comme : il n'y a plus de pensée dogmatique possible, seulement une pensée souple ou " faible ". C'est ce qui lui permet de donner une analyse de l'art " postmoderne " comme celui pour lequel l'histoire a cessé de recouvrir l'idée d'un progrès. Et c'est ce qui lui permet encore de mettre à nu, sous l'idée de modernité, celle d'idolâtrie du nouveau. La pensée post-moderne est alors celle qui ne se reconnaît plus d'autres ressources que la mobilité de l'interprétation.