Le père de Béatrice Szapiro, l'écrivain et polémiste, Jean-Edern Hallier (1936-1997) est mort comme il a vécu, en roue libre, il y a presque trente ans déjà, à vélo, quasi aveugle, devant l'hôtel où il séjournait, le Normandy à Deauville. Ce fils et petit-fils de militaire, disait qu'il se condamnait à devenir général de l'armée des rêves, c'est à dire romancier. Peut-être que l'un de ses meilleurs romans dont il fut le héros, fut sa vie, qu'il réécrivait à souhait.
L'autrice n'a rencontré son père que les dernières années de sa vie et c'est cette histoire qu'elle conte dans ce livre, "La fille naturelle", où enfin la vie de Béatrice Szapiro a pu se mêler à celle de son père.
Le père de Béatrice Szapiro, l'écrivain et polémiste, Jean-Edern Hallier (1936-1997) est mort comme il a vécu, en roue libre, il y a presque trente ans déjà, à vélo, quasi aveugle, devant l'hôtel où il séjournait, le Normandy à Deauville. Ce fils et petit-fils de militaire, disait qu'il se condamnait à devenir général de l'armée des rêves, c'est à dire romancier. Peut-être que l'un de ses meilleurs romans dont il fut le héros, fut sa vie, qu'il réécrivait à souhait.
L'autrice n'a rencontré son père que les dernières années de sa vie et c'est cette histoire qu'elle conte dans ce livre, "La fille naturelle", où enfin la vie de Béatrice Szapiro a pu se mêler à celle de son père.