La femme, un roman de plus de 69 pages
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- Nombre de pages287
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.37 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-915247-16-9
- EAN9782915247169
- Date de parution21/03/2008
- ÉditeurDesnel
Résumé
" Lorsque je me suis rhabillée, j'ai compris en un instant quel pourrait être mon engagement personnel ". Gustave Flaubert écrit dans sa préface de Madame Bovary que son roman était pour lui une manière d'en finir avec sa période romantique. La femme, un roman de plus de 69 pages tente un constat post-romantique et laudatif sans être dithyrambique, en ce début du 2rème siècle où l'on vient de fêter un demi-siècle de la mort de Sacha Guitry, lequel, dans ses écrits, aurait plutôt dénoncé les " excès " ou les " travers " de la gent féminine... La misogynie, d'après l'auteur de ce roman - venant comme une ode à la femme d'aujourd'hui -, serait née avec Maupassant et aurait forci avec Guitry. " Je possède sur les autres un pouvoir. Et je n'en saisis pas encore l'exacte nature. Il me faut l'utiliser. Ce goût pour l'amour des autres n'est pas chez moi une passade. Quand j'ai donné du plaisir, je ressens une paix intérieure où se réalise l'unité. Dans ce bien-être intense, je ne perçois plus, durant un temps long, mes limites corporelles. Ma peur cependant est toujours de me dévouer à autrui... Ce serait combler mes propres béances sans les approfondir par moi-même ". En 69 pages et plus, le roman d'une femme s'écrit chaque jour dans sa rencontre avec l'Autre, ses amours, son sexe exigeant, sa vie sociale et un rêve d'enfant... jamais mené à terme dans le tourbillon d'une vie exceptionnelle et à la fois mortifère. Le roman d'un homme qui aime la Femme, et pas seulement " toutes les femmes ", nourri du Deuxième Sexe, en cette année du centenaire de Simone de Beauvoir.
" Lorsque je me suis rhabillée, j'ai compris en un instant quel pourrait être mon engagement personnel ". Gustave Flaubert écrit dans sa préface de Madame Bovary que son roman était pour lui une manière d'en finir avec sa période romantique. La femme, un roman de plus de 69 pages tente un constat post-romantique et laudatif sans être dithyrambique, en ce début du 2rème siècle où l'on vient de fêter un demi-siècle de la mort de Sacha Guitry, lequel, dans ses écrits, aurait plutôt dénoncé les " excès " ou les " travers " de la gent féminine... La misogynie, d'après l'auteur de ce roman - venant comme une ode à la femme d'aujourd'hui -, serait née avec Maupassant et aurait forci avec Guitry. " Je possède sur les autres un pouvoir. Et je n'en saisis pas encore l'exacte nature. Il me faut l'utiliser. Ce goût pour l'amour des autres n'est pas chez moi une passade. Quand j'ai donné du plaisir, je ressens une paix intérieure où se réalise l'unité. Dans ce bien-être intense, je ne perçois plus, durant un temps long, mes limites corporelles. Ma peur cependant est toujours de me dévouer à autrui... Ce serait combler mes propres béances sans les approfondir par moi-même ". En 69 pages et plus, le roman d'une femme s'écrit chaque jour dans sa rencontre avec l'Autre, ses amours, son sexe exigeant, sa vie sociale et un rêve d'enfant... jamais mené à terme dans le tourbillon d'une vie exceptionnelle et à la fois mortifère. Le roman d'un homme qui aime la Femme, et pas seulement " toutes les femmes ", nourri du Deuxième Sexe, en cette année du centenaire de Simone de Beauvoir.